Harriet Jackson

Conseillère et chef de bureau

Biographie

Harriet Jackson est devenue directrice générale du département des Analyses de l’économie internationale (INT) de la Banque du Canada le 16 août 2021. Dans le cadre de cette fonction, elle veille à la gestion et à l’orientation stratégique du département, qui est chargé de réaliser des analyses rigoureuses et ponctuelles de la conjoncture économique mondiale et de fournir des conseils sur la politique monétaire et les enjeux liés aux politiques internationales.

En 2007, Mme Jackson est entrée au service de la Banque comme chercheuse principale au département des Recherches, aujourd’hui le département des Analyses de l’économie canadienne (AEC). Elle est ensuite devenue conseillère en politiques aux INT, où elle a supervisé les travaux contribuant à étayer le Rapport sur la politique monétaire, la publication phare de la Banque. Elle a accédé au rang de cadre supérieur des AEC en 2015 et, à ce titre, a soutenu le processus entourant l’annonce du taux directeur et chapeauté la Section de l’analyse régionale. Depuis son entrée en fonction en tant que directrice générale des INT en 2017 jusqu’à sa nomination actuelle, elle a encadré l’analyse de l’évolution économique mondiale et son incidence pour la politique monétaire au Canada.

Mme Jackson a travaillé auparavant au ministère des Finances et au Bureau du Conseil privé, qu’elle a conseillés sur un vaste éventail d’enjeux budgétaires et d’ordre macroéconomique.

Mme Jackson est originaire de Kitchener (Ontario). Elle possède un baccalauréat et une maîtrise en économie de l’Université McMaster, à Hamilton.


Documents d'analyse du personnel

The International Experience with Negative Policy Rates

Document d’analyse du personnel 2015-13 Harriet Jackson
Une dimension centrale du débat entourant le renouvellement de l’entente sur la cible de maîtrise de l’inflation est celle du niveau approprié de cette cible. Au vu du recul du taux neutre et compte tenu des enseignements de la récente crise financière, de nombreux observateurs s’inquiètent de la possibilité que la valeur plancher effective des taux d’intérêt se fasse plus contraignante dans l’avenir si les cibles de maîtrise de l’inflation sont maintenues à 2 %.

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