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23 février 2012

Les fluctuations à moyen terme des prix des maisons au Canada

L’article s’appuie sur la théorie et des travaux empiriques pour étudier un certain nombre de facteurs qui contribuent à expliquer les variations des prix des maisons au Canada. Peterson et Zheng analysent d’abord brièvement l’évolution de ces prix au moyen de données régionales afin de mettre en lumière les variables qui influent sur les prix dans le long terme. Puis, ils passent au sujet central de leur étude, soit l’incapacité des facteurs de long terme à rendre compte de la totalité des mouvements à moyen terme des prix du logement. S’inspirant de récents travaux réalisés à la Banque du Canada, les auteurs examinent plusieurs déterminants de ces mouvements, dont les taux d’intérêt, les plus-values anticipées et la liquidité du marché du logement. Ils proposent, en conclusion, des pistes de recherche susceptibles d’aider à mieux comprendre la dynamique du prix des maisons.
23 février 2012

L’insolvabilité des ménages au Canada

Comme les niveaux d’endettement des ménages ont augmenté ces dernières années, il se peut que le nombre de ménages vulnérables à des chocs économiques défavorables soit lui aussi en hausse. Tant les actions du débiteur que celles de ses créanciers peuvent concourir à provoquer sa défaillance. Les auteurs dégagent quelques faits stylisés sur l’insolvabilité des ménages au Canada et analysent le rôle des créanciers à cet égard. La dette d’une personne déclarant faillite au pays équivaut à plus de 1,5 fois celle du ménage canadien moyen. Les faillis sont souvent sans emploi ou occupent des emplois peu rémunérés, et ils sont généralement locataires. Les deux chercheurs relèvent que les banques affichant les taux d’approbation de prêts par succursale les plus élevés – et recourant le moins, selon leur interprétation, à des données subjectives (comme le jugement que forme le responsable du crédit sur l’intégrité et la fiabilité du demandeur de prêt) – sont aussi celles dont les clients font le plus faillite. Ce résultat a d’importantes implications, car les institutions financières qui n’utilisent pas ces renseignements sont plus exposées que les autres à une détérioration de leurs portefeuilles de prêts.
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