G - Économie financière - Banque du Canada
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Fils RSS de la Banque du Canadafr2024-03-29T07:00:57+00:00Financial Crisis Resolution
https://www.banqueducanada.ca/2012/12/document-travail-2012-42/
Dans cette étude, l’auteur utilise une version dynamique du modèle d’intermédiation financière de Holmstrom et Tirole. Il montre que les équilibres concurrentiels ne sont pas soumis à une contrainte d’efficience quand l’économie subit une crise financière. Sous l’effet d’une externalité pécuniaire, le désir des banques d’accumuler des fonds propres au fil du temps aggrave, lors de la crise financière, la rareté des capitaux en provenance d’investisseurs disposant d’un avantage informationnel.2012-12-21T07:56:41+00:00enFinancial Crisis Resolution2012-12-21Marchés financiersRéglementation et politiques relatives au système financierWorking Paper 2012-42https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/12/wp2012-42.pdfFinancial Crisis ResolutionJosef SchrothDécembre 2012DD5D53EE6E60GG0G01G1G10G18Estimating the Policy Rule from Money Market Rates when Target Rate Changes Are Lumpy
https://www.banqueducanada.ca/2012/12/document-travail-2012-41/
Le taux cible ou directeur de la majorité des banques centrales fait l’objet de modifications discrètes plutôt que continues (par multiples de 25 points de base par exemple), annoncées publiquement à des dates préétablies. La plupart du temps, toutefois, les chercheurs partent de l’hypothèse que le taux directeur varie linéairement avec les conditions économiques, sans établir de distinction entre les dates d’annonce prévues au calendrier et les autres jours.2012-12-18T16:34:29+00:00enEstimating the Policy Rule from Money Market Rates when Target Rate Changes Are Lumpy2012-12-18Évaluation des actifsMarchés financiersTaux d'intérêtWorking Paper 2012-41https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/12/wp2012-41.pdfEstimating the Policy Rule from Money Market Rates when Target Rate Changes Are LumpyJean-Sébastien FontaineDécembre 2012EE4E43E44E47GG1G12G13Consumer Interest Rates and Retail Mutual Fund Flows
https://www.banqueducanada.ca/2012/12/document-travail-2012-39/
L’auteur met en évidence un lien entre les sphères réelle et financière de l’économie. Il constate l’existence d’une relation négative entre les flux de placement des particuliers dans les fonds d’actions au Canada et les variations contemporaines et passées d’une composante du taux préférentiel et du taux hypothécaire à cinq ans qui n’est pas corrélée avec les taux des titres d’État.2012-12-18T11:03:53+00:00enConsumer Interest Rates and Retail Mutual Fund Flows2012-12-18Services financiersTaux d'intérêtWorking Paper 2012-39https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/12/wp2012-39.pdfConsumer Interest Rates and Retail Mutual Fund FlowsJesus SierraDécembre 2012GG2G21G23Liquidity and Central Clearing: Evidence from the CDS Market
https://www.banqueducanada.ca/2012/12/document-travail-2012-38/
Une initiative internationale visant à accroître le recours à la compensation centralisée des contrats de dérivés de gré à gré a été lancée en réponse à la crise financière de 2008. L’adoption de cette pratique constitue un changement fondamental de la structure du marché.2012-12-06T13:09:15+00:00enLiquidity and Central Clearing: Evidence from the CDS Market2012-12-06Marchés financiersWorking Paper 2012-38https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/12/wp2012-38.pdfLiquidity and Central Clearing: Evidence from the CDS MarketJoshua SliveJonathan WitmerElizabeth WoodmanDécembre 2012GG3G30G38Les taxes sur les transactions financières : expériences d’autres pays, enjeux et faisabilité
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L’idée de prélever une taxe sur les transactions financières (TTF) circule depuis longtemps déjà, mais la récente crise financière mondiale a ravivé l’intérêt de certains à son endroit. Cet article examine les données relatives à l’incidence de la perception d’une telle taxe sur la qualité du marché ainsi que certains des défis posés par sa mise en œuvre dans la pratique. Les partisans de la TTF allèguent que cette dernière procurerait d’importantes recettes fiscales et réduirait la volatilité des marchés. La plupart des observations empiriques corroborent plutôt les arguments invoqués par les opposants à la TTF, à savoir que celle-ci entraîne une baisse du volume des opérations et de la liquidité et une hausse de la volatilité. En outre, sa mise en œuvre comporte de nombreuses difficultés, qui pourraient réduire les revenus escomptés. Les avantages éventuels d’une taxe sur les transactions financières sont tributaires de ses effets sur la qualité du marché et de sa capacité de générer des recettes. La conception d’une TTF soulève néanmoins beaucoup de questions qui demeurent sans réponse.2012-11-15T07:53:54+00:00frLes taxes sur les transactions financières : expériences d’autres pays, enjeux et faisabilité2012-11-15Accès, concurrence et risques sur les marchés à compensation centralisée
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Parce qu’elles atténuent le risque de contrepartie et en assurent la gestion, les contreparties centrales peuvent rendre les marchés de gré à gré plus résilients et réduire le risque systémique. Ces avantages sont maximisés quand les services de la contrepartie centrale sont accessibles à un large éventail de participants. On observe, dans les marchés de gré à gré, un important arbitrage entre risque et concurrence. Les auteurs modélisent un tel marché pour examiner comment, lorsqu’une contrepartie centrale est présente, les incitations des participants peuvent influer sur le risque et la concurrence. Si la compensation est centralisée, la participation d’un nombre élevé d’opérateurs peut faire diminuer le risque. Voilà notamment pourquoi les autorités de réglementation ont établi des exigences afin que les critères d’accès à la contrepartie centrale soient équitables, non discriminatoires et fondés sur les risques.2012-11-15T07:50:44+00:00frAccès, concurrence et risques sur les marchés à compensation centralisée2012-11-15La politique monétaire et le canal de la prise de risque : éclairage apporté par le comportement de prêteur des banques
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La crise financière de 2007-2009 et le maintien ultérieur des taux d’intérêt réels à des niveaux historiquement bas ont ressuscité le débat autour de la propension des agents économiques à accepter des risques plus importants lorsque les taux d’intérêt restent longtemps bas. Cet appétit accru pour le risque, qui pousse les agents à rechercher des placements et des stratégies d’investissement plus lucratifs, constitue ce qu’on appelle le canal de la prise de risque liée à la politique monétaire. De récents travaux semblent indiquer que les politiques de prêt suivies par les banques dans un contexte de faibles taux d’intérêt ne sont pas incompatibles avec l’existence d’un tel canal en Europe, en Amérique du Sud, aux États-Unis et au Canada. Plus précisément, ces travaux donnent à voir que les conditions des prêts accordés aux emprunteurs à risque sont moins contraignantes lorsque les taux d’intérêt sont bas. Le canal de la prise de risque amplifie peut-être la transmission des effets de la politique monétaire par les canaux traditionnels, aboutissant à une offre excessive de crédit.2012-11-15T07:47:16+00:00frLa politique monétaire et le canal de la prise de risque : éclairage apporté par le comportement de prêteur des banques2012-11-15Le monde changeant du paiement de détail au Canada et ses répercussions sur la demande de numéraire
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Depuis vingt ans, les instruments de paiement sur support papier – billets de banque et chèques – cèdent de plus en plus la place aux moyens électroniques, tels que les cartes de débit et de crédit. Selon des travaux effectués récemment à la Banque du Canada sur les préférences des consommateurs en matière d’instruments de paiement, le numéraire demeure fréquemment utilisé pour les petits achats parce que ce mode de règlement est rapide et commode et qu’il est largement accepté par les commerçants; les cartes de débit et de crédit sont plus souvent choisies pour les transactions de montant plus élevé où les caractéristiques de sécurité et la possibilité de garder un historique des dépenses sont perçues comme des avantages. Les innovations en voie d’introduction au Canada dans le domaine du paiement de détail pourraient entraîner un autre recul de l’utilisation des espèces à long terme, mais on mesure mal les effets que pourraient avoir sur celle-ci certains des changements d’ordre structurel et réglementaire en cours.2012-11-15T07:44:04+00:00frLe monde changeant du paiement de détail au Canada et ses répercussions sur la demande de numéraire2012-11-15Forecasting Inflation and the Inflation Risk Premiums Using Nominal Yields
https://www.banqueducanada.ca/2012/11/document-travail-2012-37/
Les auteurs proposent de décomposer les taux de rendement nominaux en trois éléments – taux réels, inflation anticipée et primes de risque d’inflation – lorsqu’il n’existe pas d’obligations ou de swaps indexés sur l’inflation ou que les données ne sont pas fiables en raison de l’illiquidité relative de ces instruments.2012-11-14T15:37:47+00:00enForecasting Inflation and the Inflation Risk Premiums Using Nominal Yields2012-11-14Évaluation des actifsInflation et prixMéthodes économétriques et statistiquesTaux d'intérêtWorking Paper 2012-37https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/11/wp2012-37.pdfForecasting Inflation and the Inflation Risk Premiums Using Nominal YieldsBruno FeunouJean-Sébastien FontaineNovembre 2012EE4E43E47GG1G12The Role of Credit in International Business Cycles
https://www.banqueducanada.ca/2012/11/document-travail-2012-36/
L’auteure examine le rôle du crédit bancaire dans la modélisation et la prévision des fluctuations économiques. À l’aide d’un modèle mondial de type GVAR (pour Global Vector Autoregressive) dans lequel chaque économie est décrite par un modèle à correction d’erreurs qui lui est propre, elle étudie la transmission aux autres pays des chocs de crédit provenant des États-Unis.2012-11-14T15:32:16+00:00enThe Role of Credit in International Business Cycles2012-11-14Crédit et agrégats du créditCycles et fluctuations économiquesMarchés financiers internationauxMéthodes économétriques et statistiquesWorking Paper 2012-36https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/11/wp2012-36.pdfThe Role of Credit in International Business CyclesTengTeng XuNovembre 2012CC3C32EE3E32E4E44GG2G21