Institutions financières - Banque du Canada
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Fils RSS de la Banque du Canadafr2024-03-28T17:20:39+00:00La politique monétaire et le canal de la prise de risque : éclairage apporté par le comportement de prêteur des banques
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/11/revue-bdc-automne12-paligorova.pdf
La crise financière de 2007-2009 et le maintien ultérieur des taux d’intérêt réels à des niveaux historiquement bas ont ressuscité le débat autour de la propension des agents économiques à accepter des risques plus importants lorsque les taux d’intérêt restent longtemps bas. Cet appétit accru pour le risque, qui pousse les agents à rechercher des placements et des stratégies d’investissement plus lucratifs, constitue ce qu’on appelle le canal de la prise de risque liée à la politique monétaire. De récents travaux semblent indiquer que les politiques de prêt suivies par les banques dans un contexte de faibles taux d’intérêt ne sont pas incompatibles avec l’existence d’un tel canal en Europe, en Amérique du Sud, aux États-Unis et au Canada. Plus précisément, ces travaux donnent à voir que les conditions des prêts accordés aux emprunteurs à risque sont moins contraignantes lorsque les taux d’intérêt sont bas. Le canal de la prise de risque amplifie peut-être la transmission des effets de la politique monétaire par les canaux traditionnels, aboutissant à une offre excessive de crédit.2012-11-15T07:47:16+00:00frLa politique monétaire et le canal de la prise de risque : éclairage apporté par le comportement de prêteur des banques2012-11-15Canadian Bank Balance-Sheet Management: Breakdown by Types of Canadian Financial Institutions
https://www.banqueducanada.ca/2012/09/document-analyse-2012-7/
Les auteurs étudient les ratios de levier, de fonds propres et de liquidité des banques au Canada. Ces ratios sont d’importants indicateurs des différents types de risques du point de vue de la gestion des bilans bancaires. Les auteurs prêtent une attention particulière aux observations concernant différents types d’établissements, notamment les banques de petite taille auxquelles on est historiquement moins attentif.2012-09-28T14:29:07+00:00enCanadian Bank Balance-Sheet Management: Breakdown by Types of Canadian Financial Institutions2012-09-28Institutions financièresRéglementation et politiques relatives au système financierStabilité financièreDiscussion Paper 2012-7https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/09/dp2012-07.pdfCanadian Bank Balance-Sheet Management: Breakdown by Types of Canadian Financial InstitutionsDavid Xiao ChenH. Evren DamarHani SoubraYaz TerajimaSeptembre 2012GG2G21G28Price Negotiation in Differentiated Products Markets: Evidence from the Canadian Mortgage Market
https://www.banqueducanada.ca/2012/09/document-travail-2012-30/
Les auteurs mesurent le pouvoir de marché dans un marché décentralisé où les conditions contractuelles sont déterminées à l’issue d’un processus de recherche et de négociation. Le secteur hypothécaire possède de nombreuses caractéristiques qui dénotent la compétitivité : homogénéité des contrats, taux négociables et, pour un consommateur donné, coûts des prêts communs à tous les prêteurs.2012-09-28T09:23:40+00:00enPrice Negotiation in Differentiated Products Markets: Evidence from the Canadian Mortgage Market2012-09-28Institutions financièresServices financiersStructure de marché et établissement des prixWorking Paper 2012-30https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/09/wp2012-30.pdfPrice Negotiation in Differentiated Products Markets: Evidence from the Canadian Mortgage MarketJason AllenRobert ClarkJean-François HoudeAoût 2012DD4GG2G21LL2L22Efficiency and Bargaining Power in the Interbank Loan Market
https://www.banqueducanada.ca/2012/09/document-travail-2012-29/
À l’aide de données détaillées sur les transactions relatives aux prêts, les auteurs examinent l’efficience du marché du financement interbancaire à un jour ainsi que le pouvoir de négociation de ses participants. L’analyse repose sur ce concept d’équilibre qu’est le coeur, qui impose un ensemble de conditions de non-arbitrage aux opérations du marché.2012-09-27T12:34:53+00:00enEfficiency and Bargaining Power in the Interbank Loan Market2012-09-27Institutions financièresSystèmes de compensation et de règlement des paiementsWorking Paper 2012-29https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/09/wp2012-29.pdfEfficiency and Bargaining Power in the Interbank Loan MarketJason AllenJames ChapmanFederico EcheniqueMatthew ShumSeptembre 2012CC7C71EE5E58GG2G21G28Une analyse des indicateurs de risque de bilan au sein des institutions financières canadiennes
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/08/revue-bdc-ete12-chen.pdf
Cet article examine l’évolution dans plusieurs types d’institution financière au Canada de quatre indicateurs de risque de bilan – les ratios de levier, de fonds propres, de liquidité de l’actif et de financement – au cours des trois dernières décennies. Les changements apportés à la réglementation du secteur bancaire qui pourraient avoir contribué à la dynamique observée y sont aussi décrits. Les auteurs constatent que les divers indicateurs de risque de bilan ont reculé dans la plupart des institutions autres que les six grandes banques, mais qu’ils sont demeurés relativement inchangés dans ces dernières. Ils notent par ailleurs une hétérogénéité croissante de ces indicateurs parmi les institutions financières. Le repli général et l’accentuation de l’hétérogénéité sont survenus dans la foulée de changements d’ordre réglementaire, comme l’entrée en vigueur en 1995 de lignes directrices sur la liquidité de financement et l’imposition aux banques, en 2000, d’exigences individualisées en matière de levier. En resserrant la gestion des risques de bilan, ces règlements ont vraisemblablement contribué à rendre le secteur bancaire plus résilient.2012-08-16T08:39:25+00:00frUne analyse des indicateurs de risque de bilan au sein des institutions financières canadiennes2012-08-16The Ex-Ante Versus Ex-Post Effect of Public Guarantees
https://www.banqueducanada.ca/2012/07/document-travail-2012-22/
En octobre 2006, l’agence DBRS a modifié la notation des banques afin de tenir compte du soutien potentiel de l’État. Les modifications apportées ne traduisaient pas des changements de la qualité fondamentale du crédit des institutions concernées.2012-07-27T12:22:31+00:00enThe Ex-Ante Versus Ex-Post Effect of Public Guarantees2012-07-27Institutions financièresRéglementation et politiques relatives au système financierStabilité financièreWorking Paper 2012-22https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/07/wp2012-22.pdfThe Ex-Ante Versus Ex-Post Effect of Public GuaranteesH. Evren DamarReint GroppAdi MordelJuillet 2012GG2G21G28G3G32Consumer Bankruptcy and Information
https://www.banqueducanada.ca/2012/07/document-travail-2012-1-2/
Les auteurs analysent la relation qu’il y a entre l’intensité avec laquelle les banques exploitent des données subjectives ou « informelles » et les tendances entourant les faillites de ménages. À partir d’un ensemble unique de données sur les faillites de ménages canadiens, ils confirment que les taux de faillite sont plus élevés dans les marchés où il se recueille le moins d’informations subjectives, c.-à-d. de renseignements qualitatifs obtenus par les succursales.2012-07-20T09:47:04+00:00enConsumer Bankruptcy and Information2012-07-20Institutions financièresServices financiersWorking Paper 2012-18https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/07/wp2012-18.pdfConsumer Bankruptcy and InformationJason AllenH. Evren DamarDavid Martinez-MieraJuillet 2012DD4GG2When Is It Less Costly for Risky Firms to Borrow? Evidence from the Bank Risk- Taking Channel of Monetary Policy
https://www.banqueducanada.ca/2012/03/document-travail-2012-10/
L’étude des politiques de tarification des prêts suivies par les banques américaines ces vingt dernières années tend à accréditer l’hypothèse voulant que la politique monétaire influe sur la prise de risque des institutions financières. Les auteurs montrent en effet que lorsque les taux d’intérêt à court terme sont bas, les marges que les banques appliquent à leurs prêts aux emprunteurs à risque diminuent par rapport à celles imposées aux autres emprunteurs.2012-03-09T09:47:03+00:00enWhen Is It Less Costly for Risky Firms to Borrow? Evidence from the Bank Risk- Taking Channel of Monetary Policy2012-03-09Cadre de la politique monétaireInstitutions financièresWorking Paper 2012-10https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/03/wp2012-10.pdfWhen Is It Less Costly for Risky Firms to Borrow? Evidence from the Bank Risk- Taking Channel of Monetary PolicyTeodora PaligorovaJoão SantosMars 2012GG2G21L’insolvabilité des ménages au Canada
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/02/revue-bdc-hiver11-12-allen.pdf
Comme les niveaux d’endettement des ménages ont augmenté ces dernières années, il se peut que le nombre de ménages vulnérables à des chocs économiques défavorables soit lui aussi en hausse. Tant les actions du débiteur que celles de ses créanciers peuvent concourir à provoquer sa défaillance. Les auteurs dégagent quelques faits stylisés sur l’insolvabilité des ménages au Canada et analysent le rôle des créanciers à cet égard. La dette d’une personne déclarant faillite au pays équivaut à plus de 1,5 fois celle du ménage canadien moyen. Les faillis sont souvent sans emploi ou occupent des emplois peu rémunérés, et ils sont généralement locataires. Les deux chercheurs relèvent que les banques affichant les taux d’approbation de prêts par succursale les plus élevés – et recourant le moins, selon leur interprétation, à des données subjectives (comme le jugement que forme le responsable du crédit sur l’intégrité et la fiabilité du demandeur de prêt) – sont aussi celles dont les clients font le plus faillite. Ce résultat a d’importantes implications, car les institutions financières qui n’utilisent pas ces renseignements sont plus exposées que les autres à une détérioration de leurs portefeuilles de prêts.2012-02-23T10:00:36+00:00frL’insolvabilité des ménages au Canada2012-02-23Price Competition and Concentration in Search and Negotiation Markets: Evidence from Mortgage Lending
https://www.banqueducanada.ca/2012/02/document-travail-2012-4/
Les auteurs examinent l’effet des regroupements bancaires sur les taux d’intérêt hypothécaires afin d’évaluer le degré de compétitivité des marchés hypothécaires. Comme ces marchés sont décentralisés, les taux y sont déterminés au moyen d’un processus de recherche et de négociation.2012-02-08T11:47:01+00:00enPrice Competition and Concentration in Search and Negotiation Markets: Evidence from Mortgage Lending2012-02-08Institutions financièresServices financiersTaux d'intérêtWorking Paper 2012-4https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/02/wp2012-04.pdfPrice Competition and Concentration in Search and Negotiation Markets: Evidence from Mortgage LendingJason AllenRobert ClarkJean-François HoudeFévrier 2012GG2LL1