Subrata Sarker - Dernières parutions - Banque du Canada
https://www.banqueducanada.ca/fils-rss/
Fils RSS de la Banque du Canadafr2024-03-28T08:55:35+00:00Évaluation de la croissance de la production potentielle mondiale et du taux neutre aux États-Unis : avril 2021
https://www.banqueducanada.ca/2021/04/note-analytique-personnel-2021-5/
La croissance de la production potentielle mondiale devrait augmenter pour atteindre 3 % en 2022 : nos estimations pour toutes les régions ont été revues à la hausse par rapport à notre évaluation précédente, publiée en octobre 2020. Quant à la fourchette des estimations du taux neutre aux États-Unis, elle est restée inchangée depuis l’évaluation de l’automne 2020.2021-04-21T10:00:12+00:00frÉvaluation de la croissance de la production potentielle mondiale et du taux neutre aux États-Unis : avril 20212021-04-21Assessing Global Potential Output Growth: October 2020
https://www.banqueducanada.ca/2020/11/document-analyse-personnel-2020-10/
Cette étude présente des estimations actualisées de la croissance de la production potentielle pour l’économie mondiale jusqu’en 2022. On s’attend à ce que la croissance de la production potentielle mondiale ralentisse fortement dans la foulée de la pandémie de COVID-19 et qu’elle se redresse partiellement d’ici la fin de la période de projection du Rapport sur la politique monétaire d’octobre 2020.2020-11-10T13:48:19+00:00enAssessing Global Potential Output Growth: October 20202020-11-10Production potentielleProductivitéStaff Discussion Paper 2020-10https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2020/11/sdp2020-10.pdfAssessing Global Potential Output Growth: October 2020Xin Scott ChenAli JafferyGuillaume NolinKarim SalhabPeter ShannonSubrata SarkerNovembre 2020EE1E10E2E20OO4Le point sur le taux d’intérêt neutre
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2017/11/revue-bdc-automne17-dorich.pdf
Le taux d’intérêt neutre sert d’indice de référence pour évaluer le degré de détente monétaire et représente un point d’arrimage à moyen et à long terme pour le taux directeur réel. Les estimations du taux neutre mondial sont en recul depuis quelques décennies. Sous l’influence de facteurs comme le vieillissement démographique, la forte épargne des sociétés et la faible croissance tendancielle de la productivité, le taux neutre mondial continuera vraisemblablement de se maintenir à un bas niveau. Ces facteurs internationaux, de même que des facteurs nationaux, exercent des pressions à la baisse sur le taux neutre réel canadien, qui s’inscrit dans une fourchette estimative allant de 0,5 à 1,5 %. Ce bas niveau a d’importantes conséquences pour la politique monétaire et la stabilité financière.2017-11-16T12:21:12+00:00frLe point sur le taux d’intérêt neutre2017-11-16Digitalization and Inflation: A Review of the Literature
https://www.banqueducanada.ca/2017/11/note-analytique-personnel-2017-20/
Ces dernières années, de nombreux commentateurs ont avancé que les éventuels effets désinflationnistes de la numérisation pourraient expliquer l’inflation modérée dans les économies avancées. Nous analysons les conclusions d’études sur le sujet; nous examinons trois canaux principaux par lesquels la numérisation pourrait influer sur l’inflation.2017-11-02T08:01:21+00:00frDigitalization and Inflation: A Review of the Literature2017-11-02Low Inflation in Advanced Economies: Facts and Drivers
https://www.banqueducanada.ca/2017/10/note-analytique-personnel-2017-16/
Depuis la crise financière mondiale, l’inflation fondamentale s’est maintenue en deçà de la cible dans la plupart des économies avancées. Dernièrement, elle s’est inscrite en baisse dans plusieurs de ces économies, malgré la diminution graduelle de la marge de capacités excédentaires qui s’y opère. Dans cette note, nous examinons les évolutions récentes de l’inflation fondamentale dans les économies avancées et distinguons des dynamiques particulières selon les régions.2017-10-25T06:00:46+00:00frLow Inflation in Advanced Economies: Facts and Drivers2017-10-25La croissance lente : la nouvelle norme dans les économies avancées?
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2015/11/revue-bdc-automne15-reza.pdf
Cet article décrit et examine certaines des raisons le plus souvent proposées pour expliquer la croissance lente que bon nombre d’économies avancées continuent de connaître sept ans après la crise financière mondiale de 2007-2009. Cette reprise modeste s’apparente-t-elle à un cycle prolongé, survenu dans la foulée d’une crise financière? Découlerait-elle d’une insuffisance structurelle de la demande, qui est à l’origine d’une trappe à liquidité de longue durée? Ou s’agit-il essentiellement, du fait de sa nature, d’un phénomène d’offre résultant de facteurs démographiques et technologiques?2015-11-19T10:50:04+00:00frLa croissance lente : la nouvelle norme dans les économies avancées?2015-11-19Assouplissement quantitatif et effets de débordement sur les marchés émergents
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2014/11/revue-bdc-automne14-lavigne.pdf
Les programmes d’assouplissement quantitatif mis en œuvre aux États-Unis pourraient avoir fait grossir les flux de capitaux destinés aux économies émergentes et avoir exercé des pressions à la hausse sur le prix des actifs et les taux de change, mais l’écart entre les variables fondamentales des économies avancées et des économies émergentes a également été un facteur important. Des indices portent à croire que les retombées positives de l’assouplissement quantitatif sur les économies émergentes, en l’occurrence le raffermissement de la demande mondiale et l’amélioration de la confiance, semblent l’emporter sur les coûts. Lorsque les économies avancées entreprendront de normaliser leur politique monétaire, la meilleure ligne de défense des pays émergents pour se prémunir contre toute instabilité potentielle consistera sans doute à renforcer leurs propres cadres macroéconomiques et financiers.2014-11-13T08:36:42+00:00frAssouplissement quantitatif et effets de débordement sur les marchés émergents2014-11-13Le Cadre du G20 pour une croissance forte, durable et équilibrée : le point sur la coordination des politiques macroéconomiques depuis la crise
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2013/02/revue_hiver12-13-lavigne.pdf
Depuis 2009, le Cadre du Groupe des Vingt (G20) pour une croissance forte, durable et équilibrée propose un mécanisme à l’appui de la coordination des politiques macroéconomiques à l’échelle internationale. Le Cadre a produit des résultats, dont la fixation d’objectifs en matière d’assainissement des finances publiques. Il reste que la croissance mondiale n’a été ni forte ni équilibrée depuis la crise. En outre, plusieurs pays avancés tardent à se doter de plans crédibles de redressement budgétaire, alors que les progrès vers une flexibilité accrue des taux de change dans certaines économies émergentes sont lents. Un renforcement du processus d’examen par les pairs et un approfondissement des analyses des effets de débordement internationaux permettraient d’accroître l’empreinte du Cadre sur les politiques mises en œuvre par les membres du G20.2013-02-21T10:32:48+00:00frLe Cadre du G20 pour une croissance forte, durable et équilibrée : le point sur la coordination des politiques macroéconomiques depuis la crise2013-02-21Les régimes de ciblage de l’inflation : l’expérience internationale récente
https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2012/05/revue-bdc-printemps12-lavigne.pdf
Depuis le renouvellement, en 2006, de l’entente sur la maîtrise de l’inflation en vigueur au Canada, les régimes de politique monétaire ont été confrontés à des chocs de taille, dont la crise économique et financière mondiale. Cet article examine les récents résultats livrés par les cibles d’inflation, y compris le débat sur le rôle que la […]2012-05-17T10:22:05+00:00frLes régimes de ciblage de l’inflation : l’expérience internationale récente2012-05-17