O4 - Croissance économique et productivité globale
-
-
Évaluation de la croissance de la production potentielle mondiale : avril 2019
Cette note présente les estimations actualisées de la croissance de la production potentielle pour l’économie mondiale jusqu’en 2021. La production potentielle mondiale devrait croître à un rythme de 3,3 % par année au cours de la période de projection. -
The Productivity Slowdown in Canada: An ICT Phenomenon?
Nous cherchons à déterminer si une baisse de la contribution des technologies de l’information et des communications (TIC) à la croissance de la productivité pourrait expliquer le ralentissement de la productivité observé au Canada depuis le début des années 2000. À cette fin, nous examinons plusieurs méthodes visant à cerner les canaux par lesquels les TIC pourraient avoir une incidence sur l’accroissement de la productivité globale. -
Financial Development Beyond the Formal Financial Market
Nous étudions les incidences du développement des marchés financiers en prenant en considération les modes de financement aussi bien formel qu’informel. En nous fondant sur des données internationales sur les entreprises, nous constatons que le financement informel est plus courant dans les pays riches que dans les pays pauvres. -
Évaluation de la croissance de la production potentielle mondiale : avril 2018
La présente note fait état de nos estimations de la croissance de la production potentielle dans l’économie mondiale jusqu’à l’horizon 2020. Dans l’ensemble, bien que nos estimations soient empreintes d’une incertitude considérable, nous nous attendons à un taux de croissance globalement stable de la production potentielle sur la période de projection, de l’ordre de 3,3 % en moyenne. -
Firm Dynamics and Multifactor Productivity: An Empirical Exploration
Certaines indications donnent à penser que le dynamisme des entreprises a diminué dans les économies avancées. En particulier, les taux d’entrée et de sortie d’entreprises ont chuté, ce qui semble indiquer que le processus de destruction créatrice a perdu de sa vigueur. Parallèlement, la croissance de la productivité a ralenti. Certains croient que la baisse des taux d’entrée et de sortie explique en partie la décélération de la croissance de la productivité. -
Capital-Goods Imports and US Growth
Les importations de biens d’équipement jouent aujourd’hui un rôle de plus en plus important dans la croissance de l’économie américaine. Pour comprendre ce phénomène, nous construisons un modèle de croissance néoclassique qui intègre les échanges internationaux de biens d’équipement et postule que les agents composent avec une orientation exogène des mesures de la productivité totale des facteurs et de la productivité induite par l’investissement. -
16 novembre 2017
Le point sur le taux d’intérêt neutre
Le taux d’intérêt neutre sert d’indice de référence pour évaluer le degré de détente monétaire et représente un point d’arrimage à moyen et à long terme pour le taux directeur réel. Les estimations du taux neutre mondial sont en recul depuis quelques décennies. Sous l’influence de facteurs comme le vieillissement démographique, la forte épargne des sociétés et la faible croissance tendancielle de la productivité, le taux neutre mondial continuera vraisemblablement de se maintenir à un bas niveau. Ces facteurs internationaux, de même que des facteurs nationaux, exercent des pressions à la baisse sur le taux neutre réel canadien, qui s’inscrit dans une fourchette estimative allant de 0,5 à 1,5 %. Ce bas niveau a d’importantes conséquences pour la politique monétaire et la stabilité financière.
-
Assessing Global Potential Output Growth
Dans la présente note, nous présentons nos estimations de la croissance de la production potentielle pour l’économie mondiale jusqu’en 2019. Bien que ces estimations soient entourées d’une incertitude considérable, globalement, nous prévoyons une légère augmentation du taux de croissance de la production potentielle à l’échelle mondiale, qui passerait de 3,1 % en 2016 à 3,4 % en 2019. -
17 novembre 2016
Réformes structurelles et croissance économique dans les économies de marché émergentes
La croissance a ralenti dans de nombreuses économies de marché émergentes depuis la crise financière mondiale de 2007–2009, un ralentissement qui s’explique par des facteurs aussi bien cycliques que structurels. Dans ce contexte, il sera de plus en plus important pour les économies émergentes de rehausser leur croissance potentielle en veillant à faire avancer les réformes structurelles. De quelle manière les réformes structurelles contribuent-elles de façon générale à la croissance? Quels sont les objectifs prioritaires des réformes dans les économies émergentes, que ce soit aujourd’hui ou dans un passé récent? Enfin, quel sera l’effet des réformes structurelles qui ont été planifiées sur la croissance de la production potentielle des principales économies émergentes? Voici quelques-unes des questions auxquelles s’attaquent les auteurs.
- « Précédent
- 1
- 2
- 3
- 4
- Suivant »