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13 août 1997

Le nouveau système de distribution des billets de banque

L'auteur de cet article passe en revue les modifications qui ont été apportées récemment au système de distribution des billets de banque au Canada. Le nouveau système permet aux institutions financières de s'échanger directement des billets aux points de distribution désignés à travers le pays plutôt que par l'entremise des agences de la Banque du Canada, comme cela se faisait auparavant. Les institutions communiquent avec la Banque du Canada au moyen d'un système informatisé de gestion des stocks. Deux centres des opérations de la Banque du Canada surveillent la qualité des billets et approvisionnent les institutions financières en billets neufs. La Banque continue d'exercer un contrôle ferme sur la distribution des billets de banque canadiens, mais c'est la gestion de l'information plutôt que la gestion des opérations sur billets qui amènera une amélioration de l'efficience et permettra de réaliser des économies importantes pour elle et pour le gouvernement canadien.
14 mai 1997

L'évolution de l'activité bancaire au Canada

Les activités des banques canadiennes se sont considérablement modifiées au cours des trente dernières années. La ligne de démarcation qui existait entre celles-ci et les autres institutions financières s'est estompée sous l'effet conjugué des progrès de la technologie de l'information, des changements législatifs et des forces du marché. Cette évolution a permis aux banques d'offrir un éventail beaucoup plus vaste de produits et de services. Dans cet article, l'auteur examine l'essor des opérations des banques sur le marché des prêts aux ménages au cours de la période sous revue et la percée qu'elles ont faite récemment dans le domaine de la gestion de la richesse personnelle. Certes, ces tendances ont été facilitées par des changements d'ordre législatif, mais elles reflètent également l'évolution des besoins des « baby-boomers », hier acheteurs de logements et, aujourd'hui, investisseurs dans la force de l'âge. Du côté des services commerciaux et des services aux entreprises, les banques ont réagi à l'expansion rapide des marchés financiers (et à la contraction de la demande de services d'intermédiation à la fois par les prêteurs ou les déposants et par les emprunteurs) en offrant des services de placement, après que des changements législatifs les y eurent autorisées à la fin des années 80. Elles ont également utilisé leur savoir-faire en matière d'évaluation du crédit et de gestion du risque pour fournir des garanties à l'appui d'accords de crédit et prendre des positions de contrepartiste et d'intermédiaire sur les marchés des produits dérivés. Un élément marquant de l'élargissement du champ d'action des banques est leur entrée, plus récente, sur les marchés des services fiduciaires, des fonds mutuels et du courtage de détail. Les banques ont également fait quelques percées dans le domaine de l'assurance. L'expansion des activités hors bilan a eu pour effet que la part des recettes tirées des droits et commissions dans les revenus des banques a augmenté. L'auteur fait également un survol des nouveaux outils et des techniques naissantes qui sont susceptibles de façonner la banque de demain.
13 mai 1997

Contraintes de capacité, ajustement des prix et politique monétaire

La courbe de Phillips à court terme exprime une relation positive à court terme entre le niveau de l'activité économique et l'inflation. Lorsque le niveau de la demande au sein de l'économie est supérieur à celui de la production potentielle à court terme, les pressions sur les prix s'intensifient et l'inflation augmente. L'article fait état des premiers travaux qui ont été effectués sur la courbe de Phillips à court terme et s'intéresse tout particulièrement à la vieille thèse selon laquelle cette courbe aurait une forme non linéaire, c'est-à-dire que l'inflation serait plus sensible aux variations de la production lorsque l'économie se trouve au sommet que lorsqu'elle se trouve au bas du cycle. Le caractère non linéaire de la courbe de Phillips à court terme, qui s'explique généralement par l'existence de contraintes de capacité qui limitent l'expansion de l'économie à court terme, suscite depuis quelque temps un regain d'intérêt. L'auteur passe en revue les résultats de travaux récents qui donnent à penser que la courbe de Phillips est non linéaire dans le cas du Canada et analyse les conséquences qui pourraient en découler pour la politique monétaire.
14 janvier 1997

Rapport annuel 1996

En 1996, l’inflation s’est maintenue à l’intérieur de la fourchette visée par la Banque, bien que le taux d’inflation ait fait l’objet de pressions à la baisse. Le faible niveau de l’inflation a favorisé un important assouplissement des conditions monétaires, et les taux d’intérêt sont tombés à leur plus bas niveau depuis 30 ans.
Type(s) de contenu : Publications, Rapport annuel
14 décembre 1996

L'incidence des fluctuations du taux de change sur les prix à la consommation

Dans le premier volet, plutôt théorique, l'auteure analyse les facteurs qui influencent le mécanisme par lequel les variations du taux de change se transmettent aux prix à la consommation. Dans le second, elle examine l'expérience canadienne récente en la matière à partir de 1992. Plus précisément, elle utilise l'analyse de la première partie pour expliquer pourquoi la dépréciation de près de 20 % du dollar canadien entre 1992 et 1994 ne s'est pas traduite par une hausse du taux d'inflation aussi forte qu'on l'aurait prévu à la lumière des estimations traditionnelles de l'incidence des variations du taux de change sur les prix. L'auteure explique ce phénomène d'abord par les facteurs énumérés dans le volet théorique, à savoir la conjoncture de la demande, les coûts d'ajustement des prix et la perception de la durée de la dépréciation, et ensuite, par des facteurs plus particuliers tels que l'abolition des droits de douane entre le Canada et les États-Unis et la restructuration du marché de la vente au détail. Ces derniers éléments ont sans doute contribué à neutraliser l'effet de la dépréciation du dollar sur les prix.
13 décembre 1996

Structure des échéances des avoirs et engagements financiers des ménages

Le texte vise à évaluer la structure des échéances du bilan des ménages et le degré de flexibilité des taux des emprunts et des avoirs financiers des particuliers. Les contrats à taux fixes pour les moyen et long termes constituent la majeure partie des avoirs productifs d'intérêts et des engagements financiers des ménages. Le profil de consommation des particuliers est donc plus influencé par les effets de richesse des variations des taux d'intérêt que par les effets de revenu, et une modification durable des taux d'intérêt ne produira pleinement ses effets sur la consommation qu'après un certain temps.
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