L'auteure teste empiriquement deux aspects de l'interaction entre les investissements en stocks et les variables financières, à savoir le comportement de ceux-ci en présence, d'une part, de flux de trésorerie négatifs et, d'autre part, de contraintes de financement dues à une asymétrie d'information entre emprunteur et prêteur.
Dans une perspective d'équilibre général, les auteurs étudient une économie où les agents sont en mesure d'investir dans une technologie risquée, mais où le risque d'investissement ne peut être entièrement couvert par des contrats optimaux, car les chocs y constituent une information privée.
À l'aide de données de panel, l'auteur évalue la sensibilité de l'investissement des entreprises non financières À leurs flux de trésorerie en tenant compte du rôle que leur santé financière joue dans leurs décisions d'investissement.
À l'aide d'un modèle d'équilibre général dynamique et stochastique qui décrit une petite économie ouverte, les auteurs cherchent à élucider les relations dynamiques existant entre les variables macroéconomiques canadiennes.