Dans cette livraison, les chercheurs de la Banque s’intéressent à la dynamique de l’inflation et à l’évolution du commerce mondial après la crise financière de 2007–2009. D’autres thèmes sont également traités, que ce soit le remodelage de la gouvernance et de la réglementation du système canadien de paiement ou la nature des services bancaires offerts par la Banque du Canada. Enfin, les résultats de l’enquête de 2013 sur les modes de paiement sont présentés.
Le système financier a besoin d’une liquidité de financement et de marché qui soit fiable pour favoriser l’activité économique, a déclaré aujourd’hui la première sous-gouverneure de la Banque du Canada, Mme Carolyn Wilkins, lors de son intervention devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. « La crise nous a montré que la liquidité est une amie parfois capricieuse, […]
La première sous-gouverneure Wilkins traite de la liquidité de financement et de marché, et annonce la tenue de consultations sur les cadres de référence de la Banque en ce qui a trait aux opérations sur les marchés et à l’aide d’urgence.
Monsieur le Président, distingués membres du Comité, bonjour. Carolyn et moi sommes ravis d’être ici à l’occasion de cette rencontre semestrielle sur le Rapport sur la politique monétaire. Aujourd’hui, nous vous donnerons un aperçu des plus récentes prévisions économiques de la Banque, tirées du Rapport publié le 15 avril. Dans le présent climat de volatilité […]
La Banque du Canada a annoncé aujourd’hui qu’elle maintient le taux cible du financement à un jour à 3/4 %. Le taux officiel d’escompte demeure à 1 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1/2 %.
L’enquête menée ce printemps fait ressortir que la baisse des prix du pétrole continue d’assombrir les perspectives globales de vente des entreprises, et pèse sur les intentions d’investissement et d’embauche. Cependant, une majorité de firmes profitent de la vigueur des perspectives économiques aux États-Unis et de l’amélioration de la compétitivité découlant du dollar canadien plus faible.
Les résultats de l’enquête montrent que, dans l’ensemble, les conditions du crédit aux entreprises n’ont presque pas changé au premier trimestre de 2015, mais qu’elles se sont resserrées dans le secteur du pétrole et du gaz.