Afin d'assurer un apport continu en liquidités à l'appui du fonctionnement efficace des marchés financiers, la Banque du Canada a annoncé aujourd'hui qu'elle conclura des prises en pension assorties d'une échéance de 28 jours, selon les modalités suivantes :
Les auteurs font appel à la méthode d'analyse des fluctuations conjoncturelles de Chari, Kehoe et McGrattan (2006) pour étudier l'évolution de l'économie canadienne depuis les années 1960. Cette méthode consiste à dégager des facteurs explicatifs en vue de mieux concilier les prévisions du modèle de croissance néoclassique avec le comportement réel des variables macroéconomiques.
Les auteurs étudient les conséquences de l'inflation sur le bien-être et sur la répartition des revenus en présence d'un risque de liquidité idiosyncrasique, dans le cadre d'un modèle monétaire fondé microéconomiquementet et inspiré de la théorie de la recherche.
Les auteurs élaborent un modèle en vue d'étudier la structure endogène des systèmes de règlement et l'incidence de la défaillance d'un agent de compensation sur le bien-être. La mesure dans laquelle les débiteurs utilisent les services d'un agent de compensation à l'équilibre pour régler leurs paiements, c'est-à-dire le degré de participation indirecte au système, est déterminée de façon endogène par la structure de coûts et la structure informationnelle.
Déclaration préliminaireMark CarneyComité sénatorial permanent des banques et du commerce
Dans ce document, nous indiquions que le rythme d'expansion de l'économie mondiale a décéléré depuis la parution de la Mise à jour du Rapport sur la politique monétaire en janvier, sous l'effet du ralentissement prononcé de l'économie américaine et des perturbations persistantes sur les marchés financiers internationaux. La croissance de l'économie canadienne a aussi ralenti.
Déclaration préliminaireMark CarneyComité permanent des finances de la Chambre des communes
Le rythme d'expansion de l'économie mondiale a décéléré depuis la parution de la Mise à jour du Rapport sur la politique monétaire en janvier, sous l'effet du ralentissement prononcé de l'économie américaine et des perturbations persistantes sur les marchés financiers internationaux. La croissance de l'économie canadienne a aussi ralenti.