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19 septembre 2000

Résumé des résultats des consultations

Le 19 septembre 2000, la Banque du Canada a dévoilé les détails de son projet d'instauration d'un nouveau système de huit dates fixes, c'est-à-dire préétablies, par an pour l'annonce des éventuelles modifications qui seront apportées au taux d'intérêt officiel qu'elle utilise pour mettre en oeuvre la politique monétaire. Avant de finaliser et de mettre en place un calendrier précis de dates préétablies, y compris le jour de la semaine et l'heure des annonces, la Banque invitait alors les Canadiens intéressés à lui faire part de leur point de vue sur le sujet.
19 septembre 2000

Document d'information et de consultation

En novembre 2000, un système de huit dates fixes - c'est-à-dire préétablies - par an pour l'annonce des éventuelles modifications du taux d'intérêt qu'elle utilise pour mettre en oeuvre la politique monétaire. Le présent document décrit les principales caractéristiques de la nouvelle approche, en expose les principaux avantages et énumère les questions en suspens pour lesquelles la Banque souhaite tenir une consultation publique.
19 septembre 2000

La Banque du Canada compte instaurer un système de dates fixes pour l'annonce des modifications du taux officiel d'escompte

La Banque du Canada a dévoilé aujourd'hui de son projet d'instauration d'un système de huit dates fixes — c'est-à-dire préétablies — par an pour l'annonce des éventuelles modifications qui seront apportées au taux d'intérêt officiel qu'elle utilise pour mettre en oeuvre la politique monétaire, soit le taux auquel elle consent des prêts à court terme […]
Type(s) de contenu : Médias, Communiqués
14 septembre 2000

Le gouverneur de la Banque du Canada fait le point sur la situation économique et expose les nouvelles dispositions envisagées pour l'annonce des modifications des taux d'intérêt

Lors d'une allocution qu'il a prononcée aujourd'hui devant la chambre de commerce de Calgary, le gouverneur de la Banque du Canada, M. Gordon Thiessen, a présenté le point de vue actuel de la Banque sur les perspectives d'évolution de l'économie canadienne. Dans le cadre des efforts que déploie sans cesse l'institution en vue d'améliorer l'efficacité […]
Type(s) de contenu : Médias, Communiqués

Inflation and the Tax System in Canada: An Exploratory Partial-Equilibrium Analysis

Document de travail du personnel 2000-18 Brian O'Reilly, Mylène Levac
L'étude présente les résultats de l'application aux données canadiennes, à titre expérimental, d'une approche proposée initialement par Feldstein (1997 et 1999). Ce dernier constate que, même à de bas taux d'inflation, l'interaction de l'inflation et de l'imposition des revenus tirés de placements (gains en capital, dividendes et intérêts) dans un régime fiscal imparfaitement indexé entraîne des distorsions coûteuses.
16 août 2000

La transformation du visage des banques centrales durant les années 1990

Au cours des années 1990, les banques centrales des pays industrialisés ont considérablement modifié leur mode de fonctionnement. Mettant les fruits de leur expérience en commun, elles se sont notamment efforcées de définir un ensemble de pratiques exemplaires dans le but d'améliorer et d'adapter le cadre de mise en oeuvre de la politique monétaire. La clarification des objectifs Un objectif clair est un important point de départ dans l'élaboration de tout cadre de politique. Le consensus grandissant autour de l'idée que la stabilité des prix est l'objectif approprié de la politique monétaire a sans doute été l'un des faits les plus marquants des dix dernières années. Partout dans le monde, on estime aujourd'hui que la stabilité des prix est la principale contribution que la politique monétaire peut faire pour favoriser une croissance durable et un relèvement optimal du niveau de l'emploi. Pour atteindre leur but, les banques centrales doivent aussi compter sur une stratégie claire. On notera tout particulièrement qu'elles ont été de plus en plus nombreuses durant la dernière décennie à assigner un objectif quantifiable à la politique monétaire en se dotant de cibles d'inflation. Des cibles d'inflation clairement définies aident les autorités à focaliser leurs efforts sur la variable directement associée à la stabilité des prix. En 1991, la Banque du Canada a été l'une des premières à adopter une série de cibles d'inflation à un horizon temporel spécifié. Responsabilité Nombre de banques centrales jouissent maintenant d'une indépendance accrue. Cette plus grande indépendance, alliée au désir du public d'obtenir une information plus abondante de la part de ses principales institutions, a entraîné un relèvement des normes relatives à la responsabilité des organismes publics. Par ailleurs, des cibles explicites fournissent une mesure claire en fonction de laquelle peut être évalué le rendement des autorités monétaires. Le renforcement de la responsabilité a aussi une incidence sur la transparence globale des autorités monétaires. En somme, les banques centrales sont devenues des institutions beaucoup plus ouvertes, qui accordent une importance accrue à leurs activités de communication. Pour plusieurs, par exemple, la publication de rapports détaillés sur l'inflation est devenue un outil clé de communication. Beaucoup des changements mis en oeuvre par les banques centrales ont pour objectif d'accroître la crédibilité de la politique monétaire et de permettre à ces dernières d'atteindre plus facilement leurs objectifs. S'il est difficile d'évaluer avec précision la part jouée par l'évolution du cadre de la politique, il est encourageant de noter que l'inflation et les anticipations d'inflation se situaient à un bas niveau à la fin des années 1990, ce qui procure une solide assise pour la poursuite des politiques monétaires dans l'avenir.
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