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Dans cet article, les auteurs tentent de répondre à la question de savoir si l'instauration d'un climat de faible inflation, sous l'effet d'une réorientation de la politique monétaire, atténue le degré de transmission des variations du taux de change aux prix à la consommation.
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Dans le cadre d'un modèle de petite économie ouverte se prêtant à l'étude de l'économie canadienne, l'auteur examine la règle de Taylor optimale qui permet de stabiliser la production et l'inflation en présence de cycles endogènes d'envolée et d'effondrement des prix de l'immobilier résidentiel.
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Depuis les travaux de Doepke et Schneider (2006a) et de Meh et Terajima (2008), on sait que l'inflation entraîne une redistribution notable de la richesse, entre les ménages et l'État, entre les résidents et les non-résidents et entre les ménages d'un même pays.
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Dans beaucoup d’économies avancées, les banques centrales jouissent d’un haut degré d’indépendance, ce qui met les décisions de politique monétaire à l’abri de l’influence politique. Mais comment une banque centrale indépendante devrait-elle réagir si elle subit des pressions de la part des responsables de la politique budgétaire? Nous cherchons à savoir si une banque centrale a avantage à concevoir un cadre de politique monétaire dont l’action est conditionnée à la conduite de la politique budgétaire.
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L'auteur passe en revue les travaux théoriques et empiriques qui ont récemment été consacrés aux conséquences économiques de l'incertitude entourant les perspectives à long terme en matière d'inflation. Au cours de la dernière décennie, des progrès importants ont été accomplis dans la compréhension des liens entre l'inflation, l'incertitude liée à celle-ci en longue période et l'activité économique dans les économies industrielles.
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Les auteurs cherchent à savoir si des mesures simples des déséquilibres des prix des actions et de l'immobilier au Canada peuvent renseigner sur l'évolution future de l'inflation et de la croissance de la production.
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14 août 1997
La privatisation, qui consiste dans le transfert d'activités du secteur public au secteur privé, s'est fortement développée sur la scène internationale dans les années 80 en raison de la nécessité de réduire les déficits budgétaires et des préoccupations croissantes au sujet de l'efficience des sociétés d'État et des bureaucraties gouvernementales. Cet article traite de la privatisation au Canada et de son incidence sur la situation financière des administrations publiques nationales.
La privatisation a été en général moins rapide et moins étendue au Canada qu'à l'étranger, en partie à cause de la taille relativement réduite du secteur public canadien. Néanmoins, le gouvernement fédéral, les provinces et les municipalités ont réduit de plus en plus leur participation directe aux activités économiques en vendant des sociétés d'État, en sous-traitant la fourniture de services publics par des entreprises privées et en transférant au secteur privé la mise en oeuvre de projets d'infrastructure publique.
L'incidence de la privatisation de sociétés d'État sur les finances publiques varie selon certains facteurs tels que la rentabilité de la société concernée, l'importance de l'investissement initial du gouvernement et les réductions de valeur passées. Normalement, lorsqu'elles s'inscrivent dans un objectif plus vaste d'assainissement des finances publiques, les privatisations contribuent à l'amélioration de la situation financière de l'État en réduisant ses besoins de financement et son endettement.
Lorsqu'il y a privatisation de services et de projets d'infrastructure, on s'attend à ce qu'une gestion plus efficiente par le secteur privé entraîne une réduction des dépenses publiques. Par exemple, un groupe privé peut être en meilleure position que le secteur public pour gérer les risques financiers inhérents aux grands travaux d'infrastructure, tels que les dépassements de coût ou le retrait de certains entrepreneurs. Toutefois, le facteur clé qui détermine les gains d'efficience et la baisse des coûts est la concurrence, et non la privatisation en soi. Par conséquent, les économies pouvant résulter de la privatisation de services et de travaux publics dépendent très fortement des modalités des contrats.
Dans l'ensemble, lorsqu'elles sont structurées de façon à encourager l'efficience économique, les privatisations sont de nature à améliorer la tenue de l'économie et, partant, à produire des gains à long terme sur les plans économique et budgétaire.
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Depuis le début de la pandémie de COVID-19, les technologies numériques contribuent au maintien de l’activité économique tout en facilitant la distanciation. Notre analyse montre que le nombre d’offres d’emploi publiées en ligne pour des postes liés à la production de technologies numériques au Canada a diminué moins que celui des autres offres d’emploi, et qu’il a récupéré plus rapidement après la levée des confinements.
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Nous fournissons des résultats empiriques concernant les effets sur l’économie globale de nouvelles inattendues liées à la valeur nette d’intermédiaires financiers. Pour ce faire, nous employons une stratégie d’identification des chocs financiers à l’aide de données de haute fréquence. Nous estimons qu’une baisse inattendue de 1 % de la valeur nette des intermédiaires entraîne une diminution de 0,2 à 0,4 % de la valeur de marché des sociétés non financières.
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La présente étude montre que, toutes choses égales par ailleurs, certaines opérations de transfert, à des tiers investisseurs, du risque de crédit du portefeuille titrisé accroissent le risque d’insolvabilité des banques, ce qui est particulièrement vrai si les banques cèdent la tranche prioritaire et conservent une position de premières pertes suffisamment importante.