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Entre le milieu de 2014 et le début de 2016, les prix du pétrole ont chuté de 65 % environ. La présente note analytique décrit les canaux par lesquels cette chute des prix du pétrole est susceptible de se répercuter sur l’économie mondiale. L’un d’eux, un canal important et immédiat, est la hausse des dépenses, en particulier dans les pays importateurs nets de pétrole.
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Ce modèle d’équilibre explique la tendance des taux à long terme ainsi que les mouvements cycliques des taux à court terme et des écarts de rendement. Les courbes de rendement inversées (et les récessions) moins fréquentes après les années 1990 sont attribuables à la stagnation séculaire observée récemment et aux attentes d’inflation procyclique.
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L'auteur décrit l'évolution de la productivité du travail au Canada pendant les quatre dernières décennies au moyen d'un modèle multivarié à facteurs dynamiques alimenté par des données sur la productivité du travail ainsi que sur la rémunération et la consommation globales. Il fait l'hypothèse que la productivité oscille entre deux régimes que caractérisent des taux […]
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Nous proposons un nouveau cadre empirique qui permet de décomposer simultanément la variance conditionnelle des séries chronologiques de données économiques en deux facteurs : l’incertitude agrégée et l’incertitude sectorielle. Nous appliquons notre cadre à un ensemble de données désagrégées relatives à la production industrielle aux États-Unis. Nous constatons que les variations imprévues de l’incertitude liée aux biens durables sont des facteurs de ralentissement, tandis que les hausses inattendues de l’incertitude liée aux biens non durables ont une action expansionniste.
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En nous appuyant sur l’analyse structurelle résiduelle de Barnett et Charbonneau (2015), nous décomposons les parts de marché du Canada dans les importations américaines, européennes et chinoises de biens non énergétiques en trois parties : la compétitivité, l’évolution des préférences et un terme d’interaction. Nous constatons que, malgré la dépréciation du dollar, le Canada a continué de perdre des parts de marché de 2014 à 2017 (environ 0,4 point de pourcentage par année sur quatre ans).
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30 mai 2018
Rapport financier trimestriel - Premier trimestre de 2018 - Pour la période close le 31 mars 2018
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ToTEM III est la toute nouvelle mouture du principal modèle d’équilibre général dynamique et stochastique que la Banque du Canada utilise pour effectuer des projections et des analyses de politiques. Le modèle aide le personnel de la Banque à décrire de manière claire et cohérente l’état actuel de l’économie canadienne et son évolution prévisible.
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Dans la présente étude, j’analyse la quantité optimale de réserves que la banque centrale d’un pays devrait détenir dans une économie où les réserves et les autres actifs financiers offrent des avantages sur le plan de la liquidité. À l’aide d’un modèle statique, j’obtiens une règle de Friedman modifiée, à laquelle j’ajoute des contraintes. Ce modèle permet de caractériser la quantité socialement optimale des réserves et de démontrer que cette quantité n’est pas nécessairement grande ni petite, mais qu’elle dépend des avantages marginaux des réserves par rapport à d’autres actifs sûrs.
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Dans cette étude, les auteurs utilisent diverses mesures pour comparer la valeur des actions cotées en bourse au Canada à celle des actions cotées en bourse aux États-Unis. Ils observent, en utilisant à cette fin un large éventail d'instruments d'évaluation, que les actions des sociétés cotées au Canada se négocient à des cours moins élevés que ceux des sociétés cotées aux États-Unis.
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24 janvier 2024
Les taux d’intérêt produisent l’effet voulu en freinant les dépenses et l’inflation recule graduellement, bien que les pressions sous-jacentes se montrent persistantes. La Banque prévoit que l’inflation restera autour de 3 % durant le premier semestre de 2024 et qu’elle reviendra à la cible en 2025.