G1 - Marchés financiers
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Base de données de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre sur les défauts souverains : quoi de neuf en 2023?
La base de données sur les défauts souverains, publiée et actualisée tous les ans par la Banque du Canada et la Banque d’Angleterre, fournit des estimations complètes des montants de dette publique en défaut de paiement. La version 2023 comprend une nouvelle section sur les caractéristiques des défauts souverains et des cartes détaillées montrant les dettes en défaut par région du monde. -
BoC–BoE Sovereign Default Database: Appendix and References
Depuis 2014, la Banque du Canada tient à jour une base de données complète des défauts souverains afin de calculer de façon systématique la valeur nominale des différents types de défauts souverains et de les regrouper. La base de données, qui se trouve sur le site Internet de la Banque du Canada, est mise à jour annuellement en partenariat avec la Banque d’Angleterre. -
BoC–BoE Sovereign Default Database: Methodology and Assumptions
En 2014 la Banque du Canada a développé une base de données exhaustive de défauts souverains en partenariat avec la Banque d’Angleterre. La base de données, qui se trouve sur le site Internet de la Banque du Canada, est mise à jour annuellement et repose sur des ensembles de données publiées par diverses sources, publiques et privées. Elle permet de produire, à partir de ces données et de nouvelles informations, des estimations complètes du montant des engagements financiers étatiques en situation de défaut. -
Is Climate Transition Risk Priced into Corporate Credit Risk? Evidence from Credit Default Swaps
Nous cherchons à savoir si les produits dérivés de crédit des sociétés tiennent compte du risque associé à la transition climatique. Nous constatons que le risque lié à la transition climatique a des effets économiques asymétriques et considérables sur le risque de crédit des sociétés plus vulnérables, et des effets négligeables sur les autres sociétés. -
Global Demand and Supply Sentiment: Evidence from Earnings Calls
Dans cette étude, les auteurs quantifient les chocs de demande, d’offre et d’incertitude à l’échelle mondiale, et ils comparent deux grandes récessions mondiales : la Grande Récession de 2008-2009 et la pandémie de COVID-19. Ils utilisent deux méthodes pour analyser ces chocs économiques, soit 1) des techniques de traitement automatique du langage naturel appliquées à des transcriptions de présentations des résultats financiers et 2) un modèle vectoriel autorégressif structurel avec estimation bayésienne. -
Estimating the Slope of the Demand Function at Auctions for Government of Canada Bonds
Nous utilisons des données sur les soumissions aux adjudications d’obligations du gouvernement du Canada entre 1999 et 2021 pour mesurer la sensibilité du rendement de ces obligations au montant des émissions. Notre nouvel indicateur estime la fonction de demande des soumissionnaires à chaque adjudication et aide à mieux comprendre la relation entre l’offre et le rendement des obligations du gouvernement. -
Pricing Indefinitely Lived Assets: Experimental Evidence
Nous étudions la négociation d’un actif exposé au risque de défaillance. Le prix négocié de l’actif s’établit, en moyenne, à 40 % environ de la valeur totale attendue des versements de dividendes. Nous cherchons à savoir quels modèles économiques pourraient expliquer ce faible prix négocié. -
Narrative-Driven Fluctuations in Sentiment: Evidence Linking Traditional and Social Media
Les médias présentent des interprétations divergentes des implications macroéconomiques de nouvelles-chocs. Récemment, on a vu, par exemple, des reportages sur l’inflation élevée et les inversions de la courbe de rendement. Ces récits façonnent-ils l’opinion publique sur la situation macroéconomique? Dans cette étude, nous faisons ressortir l’importance des narratifs en nous basant sur des données faisant le lien entre les médias traditionnels et les médias sociaux. -
Que révèle la mise en correspondance des états financiers et des émissions des entreprises?
Nous analysons les états financiers et les cours des actions des sociétés cotées en bourse constituées au Canada qui déclarent leurs émissions de gaz à effet de serre. Nous constatons que ces entreprises ont surtout recours au financement par actions. Nous observons aussi que les investisseurs en actions tiennent de plus en plus compte des émissions des entreprises dans leurs décisions de placement, mais que cette information semble avoir peu d’incidence. Cela laisse entendre que les actifs exposés aux changements climatiques risquent de faire l’objet d’une réévaluation subite.