G3 - Finances et gouvernance des entreprises
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Recent Evolution of Canada’s Credit-to-GDP Gap: Measurement and Interpretation
Au cours des dernières années, la Banque des Règlements Internationaux a constaté que l’écart du ratio crédit/PIB du Canada s’est accentué et dépasse les seuils signalant des tensions à venir dans le système bancaire. -
Do Liquidity Proxies Measure Liquidity in Canadian Bond Markets?
Dans cette note analytique, nous déterminons la fiabilité de certaines mesures approximatives de la liquidité sur les marchés obligataires canadiens. Nous constatons que, dans le cas des obligations de référence du gouvernement du Canada, les mesures approximatives de l’incidence sur les prix et de l’écart entre les cours acheteur et vendeur dressent un tableau de l’évolution des conditions de liquidité qui est semblable à celui obtenu à partir de mesures de liquidité plus complètes. -
Methodology for Assigning Credit Ratings to Sovereigns
Le placement des réserves de change ou d’autres portefeuilles d’actifs nécessite au préalable une évaluation de la qualité du crédit des contreparties aux opérations de placement. En règle générale, les gestionnaires d’actifs et de réserves de change recourent aux cotes de crédit attribuées par les agences de notation. -
Multilateral Development Bank Credit Rating Methodology: Overcoming the Challenges in Assessing Relative Credit Risk in Highly Rated Institutions Based on Public Data
Le placement des réserves de change ou d’autres portefeuilles d’actifs nécessite au préalable une évaluation de la qualité du crédit des contreparties. En règle générale, les gestionnaires de réserves de change et les autres investisseurs recourent principalement aux cotes de crédit attribuées par les agences de notation. -
11 mai 2017
Comment expliquer l’atonie de l’investissement des entreprises à l’échelle mondiale? Éléments de réponse tirés des économies avancées
Plusieurs facteurs qui influencent les investissements des entreprises peuvent offrir une explication à l’atonie de l’investissement observée dans les économies avancées depuis la crise financière mondiale, et plus particulièrement depuis 2014. La lenteur du rythme de croissance de la demande globale ne peut rendre entièrement compte de la faiblesse récente des dépenses d’investissement, qui apparaît essentiellement liée à l’effondrement des prix internationaux des matières premières et à la montée de l’incertitude économique. À terme, le taux de progression des investissements des entreprises demeurera vraisemblablement inférieur à ce qu’il était avant la crise, pour une bonne part à cause de facteurs structurels comme le vieillissement démographique.