La Banque du Canada a annoncé aujourd’hui qu’elle abaisse le taux cible du financement à un jour pour le faire passer à 4¾ %. Le taux officiel d’escompte s’établit à 5 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 4¾ %. De même, la Banque poursuit sa politique de normalisation du bilan.
Le mercredi 5 juin 2024, la Banque du Canada annoncera, par voie de communiqué, sa décision au sujet du taux cible du financement à un jour. Le communiqué comprendra une brève explication des facteurs qui auront motivé cette décision.
Le gouverneur, Tiff Macklem, traite des principaux enjeux liés aux délibérations du Conseil de direction entourant la décision relative au taux directeur.
Le jeudi 30 mai 2024, Ron Morrow, directeur exécutif, Paiements, supervision et surveillance à la Banque du Canada, prononce un discours au Sommet de Paiements Canada.
Ron Morrow, directeur exécutif, Paiements, supervision et surveillance, parle de l’évolution des paiements au Canada et du nouveau rôle de supervision des fournisseurs de services de paiement de la Banque.
Le directeur exécutif, Paiements, supervision et surveillance, Ron Morrow, parle de l’évolution des paiements au Canada et explique pourquoi c’est important de moderniser notre infrastructure de paiement.
Nous étudions comment l’interaction entre le pouvoir de marché et la rigidité des prix nominaux influe sur la dynamique de l’inflation. Nous constatons que dans un contexte où les marchés sont concentrés, plus les prix sont rigides, moins les chocs de coûts se répercutent sur les prix affichés par les entreprises. Ce résultat implique une pente plus basse de la courbe de Phillips des nouveaux keynésiens.
Nous proposons un outil qui décompose la croissance de la PTF en contributions sectorielles. L’analyse intègre trois facteurs structurels – la numérisation, le vieillissement de la population et les politiques climatiques – et mesure leur impact respectif. Dans l’ensemble, nous nous attendons à ce que la croissance globale de la PTF ralentisse dans les années 2020 et soit inférieure à la moyenne historique ainsi qu’à la moyenne des années 2010.
Nous examinons les risques systémiques dans le secteur bancaire canadien en les décomposant selon trois canaux de contribution : la contagion, les expositions communes et les risques idiosyncrasiques. À l’aide d’un modèle structurel, nous analysons la façon dont les relations interbancaires et les conditions du marché contribuent au risque systémique, ce qui nous permet ainsi d’offrir de nouvelles perspectives sur la stabilité financière.