Les auteurs étudient la dynamique de la relation entre l'épargne et l'investissement national pour déterminer le degré de mobilité internationale du capital.
Si plusieurs travaux ont montré l'importance des degrés d'utilisation des facteurs dans l'analyse économique, l'influence des durées d'utilisation des facteurs dans la combinaison productive reste néanmoins largement méconnue, particulièrement en ce qui concerne la durée d'utilisation des équipements.
Les auteures font appel aux nouvelles méthodes d'inférence simples adaptées aux échantillons finis pour tester la validité empirique de la nouvelle courbe de Phillips keynésienne.