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Le modèle macroéconomique d’amplification des risques (modèle RAMM) est un nouveau modèle dynamique non linéaire à deux pays qui rend compte de chocs négatifs rares, mais graves. Le modèle RAMM peut être utilisé pour évaluer les implications de scénarios de risques d’origine intérieure ou étrangère pour la stabilité financière.
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Dans cette étude, les auteurs évaluent la relation entre la numérisation et l’offre et la demande de main-d’œuvre, ainsi que l’incidence de cette relation sur les salaires et les inégalités de revenu. Ils analysent également les effets des tendances récentes en matière de numérisation sur l’avenir du travail.
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Notre étude utilise des données de téléphones intelligents pour construire une mesure améliorée de l’accès à l’argent comptant en tenant compte à la fois de l’agglomération spatiale et des habitudes de déplacement des ménages. Nous constatons que les coûts de déplacement pourraient être de 15 à 25 % moins élevés si l’on intègre l’enchaînement des déplacements dans les mesures d’accès à l’argent comptant, et que la plus grande différence serait observée chez les résidents des régions rurales.
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Dans cet article, nous exposons un nouvel outil visant à surveiller les vulnérabilités économiques et financières dans les pays émergents. Nous obtenons, pour la période allant de 1990 à 2017, des indices de vulnérabilité pour plusieurs indicateurs avancés couvrant 26 marchés émergents. Nous utilisons ces indices pour suivre l’évolution des vulnérabilités avant, pendant et après une crise économique ou financière.
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Nous utilisons un ensemble de modèles d’évaluation des risques pour examiner l’incidence possible d’une correction hypothétique des prix des logements concentrée dans les régions de Toronto et de Vancouver. Nous supposons aussi que les tensions financières amplifient considérablement les effets macroéconomiques du recul des prix.
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Dans la présente étude, j’analyse la quantité optimale de réserves que la banque centrale d’un pays devrait détenir dans une économie où les réserves et les autres actifs financiers offrent des avantages sur le plan de la liquidité. À l’aide d’un modèle statique, j’obtiens une règle de Friedman modifiée, à laquelle j’ajoute des contraintes. Ce modèle permet de caractériser la quantité socialement optimale des réserves et de démontrer que cette quantité n’est pas nécessairement grande ni petite, mais qu’elle dépend des avantages marginaux des réserves par rapport à d’autres actifs sûrs.
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30 septembre 2024
Ce bulletin présente les publications les plus récentes des économistes de la Banque du Canada, y compris les études parues dans des publications externes et les documents de travail publiés dans le site de la Banque.
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Nous appliquons la méthode d’échantillonnage indirect dans un réseau bipartite consommateurs-commerçants afin d’estimer l’acceptation des modes de paiement par les commerçants à l’aide d’un journal de paiements tenu par des consommateurs.
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L'étude porte sur un modèle simple où les agents économiques prennent connaissance de la cible d'inflation de la banque centrale au fil du temps en observant le comportement de l'instrument de politique monétaire ou l'évolution de l'inflation. La banque centrale a avantage à accroître sa crédibilité (définie comme une fonction de l'écart entre la cible perçue et la cible réelle), car l'atteinte de la cible d'inflation devient alors plus conciliable avec celle de la cible de production.
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14 décembre 1996
Dans le premier volet, plutôt théorique, l'auteure analyse les facteurs qui influencent le mécanisme par lequel les variations du taux de change se transmettent aux prix à la consommation. Dans le second, elle examine l'expérience canadienne récente en la matière à partir de 1992. Plus précisément, elle utilise l'analyse de la première partie pour expliquer pourquoi la dépréciation de près de 20 % du dollar canadien entre 1992 et 1994 ne s'est pas traduite par une hausse du taux d'inflation aussi forte qu'on l'aurait prévu à la lumière des estimations traditionnelles de l'incidence des variations du taux de change sur les prix.
L'auteure explique ce phénomène d'abord par les facteurs énumérés dans le volet théorique, à savoir la conjoncture de la demande, les coûts d'ajustement des prix et la perception de la durée de la dépréciation, et ensuite, par des facteurs plus particuliers tels que l'abolition des droits de douane entre le Canada et les États-Unis et la restructuration du marché de la vente au détail. Ces derniers éléments ont sans doute contribué à neutraliser l'effet de la dépréciation du dollar sur les prix.