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Rapport financier trimestriel - Troisième trimestre de 2023

Pour la période close le 30 septembre 2023, non audité

Contexte du rapport financier trimestriel

La Banque du Canada est la banque centrale du pays. Selon la Loi sur la Banque du Canada, elle a pour mandat de « favoriser la prospérité économique et financière du Canada ». Ses activités et opérations appuient la réalisation de ce mandat et n’ont pas pour objet de générer des revenus ou des profits. La Banque s’emploie à tenir les Canadiennes et Canadiens informés de ses politiques, de ses activités et de ses opérations.

Ce rapport a été rédigé conformément à l’article 131.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques et à la Directive sur les normes comptables : GC 5200 Rapports financiers trimestriels des sociétés d’État publiée par le Conseil du Trésor du Canada.

Sa rédaction incombe à la direction de la Banque et il a été approuvé par le Comité de la vérification et des finances du Conseil d’administration le 15 novembre 2023.

Ce rapport financier trimestriel doit être lu conjointement avec les états financiers intermédiaires résumés pour le troisième trimestre de 2023 ci-annexés ainsi qu’avec le Rapport annuel de la Banque pour l’exercice clos le 31 décembre 2022. Les renseignements contenus dans le Rapport annuel 2022 s’appliquent au trimestre considéré, à moins d’indication contraire dans le présent rapport trimestriel.

Soutenir l’économie et le système financier

Pour s’acquitter de son mandat, la Banque a accès à plusieurs outils pour soutenir l’économie et le système financier canadiens. Quand les principaux marchés financiers ont subi des tensions en mars 2020 en raison de la pandémie de COVID‑19, la Banque a réagi en introduisant divers programmes pour fournir des liquidités et préserver le fonctionnement des marchés. À mesure que les marchés se sont améliorés graduellement, la Banque a suspendu la plupart de ces programmes, ou encore cessé ou réduit leur utilisation et s’est tournée vers d’autres outils, à commencer, surtout, par l’assouplissement quantitatif. Elle a mis fin à ce dernier en 2021, puisque l’activité économique avait amorcé un rebond. Elle a ensuite entamé une phase de réinvestissement à laquelle elle a mis fin en 2022 pour entreprendre un resserrement quantitatif, qui se caractérise par le non-remplacement des obligations détenues lorsqu’elles arrivent à échéance. Cette phase de resserrement quantitatif s’est poursuivie au troisième trimestre de 2023. Consulter le site Web de la Banque pour lire les communiqués et les avis aux marchés pertinents ou en savoir plus sur ces mesures.

Gestion du bilan de la Banque

État de la situation financière
(En millions de dollars canadiens)
Au 30 septembre 2023  31 décembre 2022 30 septembre 2022
Actifs
Prêts et créances 438
Placements 288 131  378 206  398 774
Dérivés – conventions d’indemnisation conclues avec le gouvernement du Canada 34 288  31 346  31 535
Tous les autres éléments d'actif* 1 207  1 153  1 116
Total de l'actif 323 631  410 710  431 863
Passif et capitaux propres (insuffisance)
Billets de banque en circulation 117 745  119 726  116 652
Dépôts 199 465  273 333  288 878
Titres vendus dans le cadre de conventions de rachat 10 581  17 396  24 885
Autres éléments de passif 306  352  494
Capitaux propres (insuffisance) (4 466) (97) 954
Total du passif et des capitaux propres (insuffisance) 323 631  410 710  431 863

* Comprend la trésorerie et les dépôts en monnaies étrangères, les immobilisations et les autres éléments d’actif

Les actifs financiers que détient la Banque sont généralement liés au rôle qu’elle assume comme seule autorité habilitée à émettre des billets de banque pour le Canada. Toutefois, le niveau élevé des actifs au cours des derniers exercices résulte en grande partie des activités qu’elle a menées dans le cadre de ses fonctions Politique monétaire et Système financier. La valeur des actifs inscrits au bilan de la Banque a atteint un sommet au premier trimestre de 2021, mais elle a diminué depuis, en raison de l’amélioration des conditions du marché et des résultats économiques ainsi que du resserrement quantitatif entrepris par la Banque. Le total de l’actif de la Banque a baissé de 21 % par rapport au 31 décembre 2022, pour s’établir à 323 631 millions de dollars au 30 septembre 2023. Cette baisse est principalement attribuable aux placements arrivés à échéance.

En général, les prêts et créances se composent essentiellement de titres achetés dans le cadre de conventions de revente. De telles opérations d’achat de titres, au cours desquelles des actifs de grande qualité sont acquis sur le marché des pensions, sont conformes au cadre de la Banque régissant les opérations sur les marchés et l’octroi de liquidités. Ces actifs proviennent notamment d’opérations de prise en pension à un jour et à plus d’un jour. Tous les titres achetés dans le cadre de conventions de revente sont arrivés à échéance en 2022.

Les placements ont reculé de 24 % par rapport au 31 décembre 2022, pour s’établir à 288 131 millions de dollars au 30 septembre 2023. Ce recul est principalement attribuable aux variations suivantes du portefeuille de placements de la Banque :

  • Les titres du gouvernement du Canada, qui comprennent les obligations à rendement nominal et les obligations à rendement réel, ont diminué de 80 744 millions de dollars au cours des neuf premiers mois de l’année. Cette diminution tient surtout à l’arrivée à échéance d’obligations et au fait que le produit qui en découle n’est pas réinvesti, comme le prévoit le resserrement quantitatif. Il s’en est suivi une baisse de 59 021 millions de dollars des obligations du gouvernement du Canada détenues à la juste valeur et de 21 723 millions de dollars des obligations du gouvernement du Canada détenues au coût amorti.
  • La Banque effectue des opérations de cession en pension de titres à un jour. Ces opérations permettent aux participants du marché de bénéficier d’une source temporaire de titres du gouvernement du Canada, et à la Banque d’accroître son offre de titres du gouvernement du Canada. Les titres prêtés ou vendus dans le cadre de conventions de rachat ont diminué de 7 915 millions de dollars par rapport au 31 décembre 2022, en raison du recul du volume des opérations de cession en pension de titres.

Les conventions d’indemnisation conclues avec le gouvernement du Canada, qui sont des dérivés, ont été établies pour indemniser la Banque et lui permettre de soutenir les marchés des obligations du gouvernement fédéral, des provinces et des sociétés. Le gouvernement du Canada indemnise la Banque de toute perte résultant de la vente d’actifs achetés dans le cadre du Programme d’achat d’obligations du gouvernement du Canada, du Programme d’achat d’obligations provinciales et du Programme d’achat d’obligations de sociétés. Par contre, si la Banque réalise des gains lors de la vente de ces actifs, elle les remet au gouvernement. Le solde de 34 288 millions de dollars correspond à la juste valeur des dérivés afférents aux pertes nettes non réalisées sur ces actifs au 30 septembre 2023. Les dérivés ont augmenté de 2 942 millions de dollars au cours de la période de neuf mois, principalement en raison d’une hausse des rendements des obligations à long terme. Ce montant est inclus dans la catégorie « Tous les autres éléments d’actif » dans le graphique ci‑dessous.

Les billets de banque en circulation représentent environ 36 % du total du passif de la Banque (29 % au 31 décembre 2022). La valeur des billets de banque en circulation a reculé de 2 % par rapport au 31 décembre 2022, pour s’établir à 117 745 millions de dollars au 30 septembre 2023, ce qui s’explique par une légère baisse de la demande de billets de banque.

Les dépôts se composent des dépôts effectués par le gouvernement du Canada, de ceux des membres de Paiements Canada et des autres dépôts. Ils représentent 61 % du total du passif de la Banque (67 % au 31 décembre 2022). Ce solde a baissé de 27 % par rapport au 31 décembre 2022, pour s’établir à 199 465 millions de dollars au 30 septembre 2023, sous l’effet de la poursuite du resserrement quantitatif.

Les titres vendus dans le cadre de conventions de rachat sont en baisse de 39 % par rapport au 31 décembre 2022. Ils se chiffrent à 10 581 millions de dollars au 30 septembre 2023. Ce passif représente le prix de rachat des titres faisant l’objet d’opérations de cession en pension et d’opérations de cession en pension à un jour. Le Programme d’opérations de cession en pension de titres soutient les marchés de financement essentiels et le bon fonctionnement du marché des titres du gouvernement du Canada. Les opérations de cession en pension à un jour aident à mettre en œuvre efficacement la politique monétaire en retirant des liquidités intrajournalières. Elles complètent ainsi les mécanismes permanents de dépôt et de prêt.

L’insuffisance de capitaux propres s’est accentuée pour s’établir à 4 466 millions de dollars au 30 septembre 2023, en raison d’une perte nette de 4 461 millions de dollars pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2023. Les résultats non distribués présentent un solde déficitaire de 5 547 millions de dollars au 30 septembre 2023, après le prélèvement de la réserve légale de 25 millions de dollars au quatrième trimestre de 2022. L’insuffisance tient compte également des sommes suivantes qui l’ont compensée en partie : un capital social autorisé de 5 millions de dollars, une réserve spéciale de 100 millions de dollars, une réserve pour gains actuariels de 520 millions de dollars et une réserve de réévaluation des placements de 456 millions de dollars, selon les chiffres au 30 septembre 2023. Voir la note 10 afférente aux états financiers intermédiaires résumés pour de plus amples renseignements sur l’insuffisance de capitaux propres de la Banque.

Résultat des opérations

Résultat des opérations
(En millions de dollars canadiens)
  Pour la période de trois mois
close le 30 septembre 
Pour la période de neuf mois
close le 30 septembre 
   2023   2022   2023   2022  
Produits d’intérêts 965  1 117  2 943  3 347 
Charges d’intérêts (2 260) (1 467) (6 918) (2 689)
Produits (charges) d’intérêts nets (1 295) 350  (3 975) 658 
Produits de dividendes
Autres produits
Total des produits (charges) avant les charges d’exploitation (1 292) (349) (3 963) 668 
Total des charges d’exploitation (167) (162) (498) (515)
Résultat net (1 459) (511) (4 461) 153 
Autres éléments du résultat global 131  (11) 92  346 
Résultat global (1 328) (522) (4 369) 499 

La Banque a enregistré des pertes nettes de 1 459 millions de dollars et de 4 461 millions de dollars pour les périodes de trois et de neuf mois, respectivement, closes le 30 septembre 2023. Cela tient surtout au fait que les intérêts versés sur les dépôts étaient supérieurs aux intérêts gagnés sur les placements. Les charges d’intérêts sur les dépôts étaient plus élevées en raison des hausses du taux directeur, qui est passé de 0,25 % au premier trimestre de 2022 à 5,00 % au troisième trimestre de 2023. Avec le temps, la Banque reviendra à un résultat net positif. Les pertes nettes qu’elle a enregistrées ne nuisent pas à sa capacité de remplir son mandat.

Les produits d’intérêts dépendent des conditions du marché et de leur incidence sur les actifs portant intérêt qui figurent au bilan de la Banque, de même que du volume et de la combinaison de ces actifs. La Banque gagne des intérêts sur ses placements en titres du gouvernement du Canada, ainsi que sur les titres achetés dans le cadre de conventions de revente (le cas échéant) et de programmes d’achat massif d’actifs. Au cours du troisième trimestre et des neuf premiers mois de 2023, les produits d’intérêts ont diminué de 152 millions de dollars (ou 14 %) et de 404 millions de dollars (ou 12 %), respectivement, par rapport aux mêmes périodes en 2022. Cette diminution est attribuable à la taille moins importante, en moyenne, du portefeuille de placements portant intérêt détenu par la Banque au cours de la période, qui a été compensée par une hausse du rendement moyen des placements.

Les charges d’intérêts se composent essentiellement des intérêts que doit verser la Banque sur les dépôts qu’elle détient. Au cours du troisième trimestre et des neuf premiers mois de 2023, les charges d’intérêts ont augmenté de 793 millions de dollars et de 4 229 millions de dollars, respectivement, par rapport aux périodes correspondantes en 2022, en raison des hausses du taux directeur. Cette augmentation a été partiellement compensée par un plus faible volume moyen de dépôts pendant la période et par la réduction à 0 %, en vigueur depuis mai 2022, du taux d’intérêt payé sur les dépôts du gouvernement du Canada.

Les charges d’exploitation pour le troisième trimestre de 2023 ont augmenté de 5 millions de dollars (ou 3 %) par rapport à la même période en 2022, ce qui s’explique surtout par trois facteurs : 1) les charges liées à la production et au traitement des billets de banque ainsi qu’à la recherche sur les billets ont augmenté de 15 millions de dollars en raison du calendrier de production des billets; 2) les coûts afférents aux immeubles ont progressé de 2 millions de dollars en raison de travaux de réparation; 3) les coûts associés à la technologie et aux télécommunications ont augmenté de 2 millions de dollars en raison de l’accent mis par la Banque sur sa transformation numérique et sur le renforcement de ses systèmes de technologie de l’information. Ces augmentations ont été compensées par une diminution de 15 millions de dollars des frais de personnel, attribuable à une baisse des coûts liés aux régimes d’avantages du personnel. Pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2023, les charges opérationnelles ont diminué de 17 millions de dollars (ou 3 %) par rapport à la même période en 2022, en raison principalement de ce qui suit :

  • Les frais de personnel ont diminué de 28 millions de dollars (ou 10 %) par rapport à la même période en 2022. Cette diminution s’explique par les changements suivants :
    • Les coûts salariaux ont augmenté de 18 millions de dollars (ou 10 %) en raison de la dotation de postes qui a été effectuée afin de remplir les mandats essentiels de la Banque, dont son nouveau mandat de supervision des paiements de détail, et de l’avancement des initiatives stratégiques. Le rajustement annuel de la rémunération a également contribué à cette augmentation.
    • Les coûts liés aux régimes d’avantages du personnel et les autres frais de personnel ont diminué de 45 millions de dollars (ou 44 %), à cause surtout d’une baisse des charges associées aux régimes à prestations définies de la Banque. La baisse est attribuable à la hausse des taux d’actualisation servant à calculer ces charges1.
  • Les coûts afférents aux immeubles ont augmenté de 5 millions de dollars (ou 23 %) par rapport à la même période de l’exercice précédent. Cette augmentation est attribuable aux réparations et aux modifications des immeubles.
  • Les coûts associés à la technologie et aux télécommunications ont augmenté de 4 millions de dollars (ou 5 %) par rapport à la même période en 2022. Cette augmentation tient au fait que la Banque met l’accent sur sa transformation numérique et sur le renforcement de ses systèmes de technologie de l’information.

Les autres éléments du résultat global pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2023 se chiffrent à 92 millions de dollars. Ils comprennent un gain de 76 millions de dollars attribuables aux réévaluations des régimes à prestations définies de la Banque résultant de hausses des taux d’actualisation2, compensées par une baisse de la juste valeur des actifs des régimes. Ils comprennent également une augmentation de 16 millions de dollars de la juste valeur du placement de la Banque en actions de la Banque des Règlements Internationaux.

Le résultat global pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2023 affiche une perte de 4 369 millions de dollars, en raison surtout de la perte nette de 4 461 millions de dollars enregistrée durant la période.

Perspectives pour 2023

Plan de la Banque pour 2023
(En millions de dollars canadiens)
Budget de 2023 Prévisions pour 2023
Pour l’exercice clos le 31 décembre $   %   $   %  
Frais de personnel 419  52  340  48 
Billets de banque – Recherche, production et traitement 60  54 
Coûts afférents aux immeubles 35  37 
Technologie et télécommunications 118  15  112  16 
Amortissements 78  10  74  11 
Autres charges d’exploitation 96  12  86  12 
Total des dépenses 806  100  703  100 

L’année 2023 est la deuxième année de la mise en application du Plan stratégique 2022‑2024 de la Banque, intitulé Remplir notre promesse. Grâce à son cadre de gestion financière, la Banque peut prendre des décisions relatives à la répartition des ressources qui lui permettent d’atteindre ses objectifs stratégiques, d’atténuer les risques auxquels elle est exposée et d’investir dans son personnel et dans ses outils d’une manière prudente sur le plan budgétaire3.

Les frais de personnel représentent la part la plus importante des charges de l’institution. Les autres charges comprennent les coûts associés à l’amélioration des systèmes et outils pour soutenir les opérations de la Banque, pérenniser sa résilience et la préparer pour l’avenir. Elles comprennent aussi les coûts engagés pour réaliser les nouveaux mandats de l’institution, poursuivre sa transformation numérique et atténuer les risques auxquels elle est exposée.

Points saillants et faits nouveaux d’ordre opérationnel

Voici les principaux changements en matière de personnel, de fonctionnement et de programmes qui sont survenus depuis le 30 juin 2023.

Conseil de direction et Conseil d’administration

Il n’y a eu aucun changement dans la composition du Conseil de direction ou du Conseil d’administration durant le trimestre.

Fonctionnement et programmes

La Banque a annoncé une hausse du taux directeur de 25 points de base le 12 juillet 2023. Les 6 septembre et 25 octobre 2023, elle a annoncé un maintien du taux directeur.

Analyse des risques

La section « Gestion des risques » du Rapport annuel 2022 présente le cadre de gestion des risques ainsi que le profil de risque de la Banque. On y fait également un examen des principaux secteurs de risque : le risque financier, le risque opérationnel, le risque stratégique et le risque lié à l’environnement et aux changements climatiques. Les risques financiers sont analysés en détail dans les notes afférentes aux états financiers pour l’exercice clos le 31 décembre 2022, qui figurent dans le Rapport. De plus, la note 4 afférente aux états financiers intermédiaires résumés pour la période close le 30 septembre 2023 donne de l’information à jour sur les risques financiers. Bien que la pandémie ait entraîné davantage de risques financiers et de volatilité qu’à l’habitude pour certains actifs détenus par la Banque, ceux dont fait état le Rapport demeurent les principaux risques auxquels l’institution pourrait être exposée.


États financiers intermédiaires résumés

  1. 1. Ces coûts pour une période donnée sont établis selon le taux d’actualisation en vigueur au 31 décembre de l’exercice précédent (p. ex., les coûts pour 2023 ont été calculés au moyen du taux en vigueur au 31 décembre 2022). Il existe une relation inverse entre les taux d’actualisation et les coûts connexes au titre des régimes : lorsque les taux diminuent, les coûts augmentent (et vice versa). Les taux d’actualisation servant au calcul des coûts liés aux régimes de pension et aux autres régimes se situaient entre 2,6 et 3,1 % pour 2022, et entre 5,0 et 5,1 % pour 2023. Cette hausse se traduira par une baisse des coûts liés aux régimes d’avantages du personnel pour 2023, toutes choses égales par ailleurs.[]
  2. 2. Le passif net au titre des prestations définies est évalué au moyen du taux d’actualisation en vigueur à la fin de la période. Le taux applicable au passif net au titre des prestations définies se situait entre 5,6 et 5,7 % au 30 septembre 2023 (entre 5,0 et 5,1 % au 31 décembre 2022). Pour en savoir plus, voir la note 9 dans les états financiers intermédiaires résumés.[]
  3. 3. Les prévisions de la Banque à l’égard de ses opérations ne comportent pas de projections relatives au résultat net et à la situation financière. De telles projections nécessiteraient la formulation d’hypothèses sur les taux d’intérêt, lesquelles pourraient être interprétées comme des indications quant à l’orientation future de la politique monétaire.[]

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