L'auteur étudie les incidences sur le bien-être des programmes d'ajustement financés par le Fonds monétaire international (FMI). Il élabore pour ce faire un modèle doté d'une contrainte endogène de crédit correspondant au plafond d'emprunt que fixent les prêteurs internationaux et obligeant le pays emprunteur à toujours préférer le remboursement à la défaillance.
La volatilité de la consommation, par rapport à celle de la production, est systématiquement plus élevée dans les économies émergentes que dans les économies développées.