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Nous présentons les processus gamma autorégressifs généralisés (GARG), une catégorie de processus autorégressifs et moyennes mobiles où la dynamique de chacun des moments conditionnels est influencée par une différente moyenne mobile identifiable de la variable d’intérêt. Nous montrons que l’utilisation de processus GARG réduit les erreurs d’évaluation de façon nettement plus importante que les processus gamma autorégressifs existants.
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14 août 1997
La privatisation, qui consiste dans le transfert d'activités du secteur public au secteur privé, s'est fortement développée sur la scène internationale dans les années 80 en raison de la nécessité de réduire les déficits budgétaires et des préoccupations croissantes au sujet de l'efficience des sociétés d'État et des bureaucraties gouvernementales. Cet article traite de la privatisation au Canada et de son incidence sur la situation financière des administrations publiques nationales.
La privatisation a été en général moins rapide et moins étendue au Canada qu'à l'étranger, en partie à cause de la taille relativement réduite du secteur public canadien. Néanmoins, le gouvernement fédéral, les provinces et les municipalités ont réduit de plus en plus leur participation directe aux activités économiques en vendant des sociétés d'État, en sous-traitant la fourniture de services publics par des entreprises privées et en transférant au secteur privé la mise en oeuvre de projets d'infrastructure publique.
L'incidence de la privatisation de sociétés d'État sur les finances publiques varie selon certains facteurs tels que la rentabilité de la société concernée, l'importance de l'investissement initial du gouvernement et les réductions de valeur passées. Normalement, lorsqu'elles s'inscrivent dans un objectif plus vaste d'assainissement des finances publiques, les privatisations contribuent à l'amélioration de la situation financière de l'État en réduisant ses besoins de financement et son endettement.
Lorsqu'il y a privatisation de services et de projets d'infrastructure, on s'attend à ce qu'une gestion plus efficiente par le secteur privé entraîne une réduction des dépenses publiques. Par exemple, un groupe privé peut être en meilleure position que le secteur public pour gérer les risques financiers inhérents aux grands travaux d'infrastructure, tels que les dépassements de coût ou le retrait de certains entrepreneurs. Toutefois, le facteur clé qui détermine les gains d'efficience et la baisse des coûts est la concurrence, et non la privatisation en soi. Par conséquent, les économies pouvant résulter de la privatisation de services et de travaux publics dépendent très fortement des modalités des contrats.
Dans l'ensemble, lorsqu'elles sont structurées de façon à encourager l'efficience économique, les privatisations sont de nature à améliorer la tenue de l'économie et, partant, à produire des gains à long terme sur les plans économique et budgétaire.
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30 janvier 2004
La Banque du Canada s’est attachée ces dernières années à exposer les buts qu’elle vise et les moyens qu’elle prend pour y parvenir. Elle a continué de renforcer le cadre de conduite de sa politique monétaire et s’est fixé des priorités dans tous ses pôles d’activité pour l’aider à atteindre ses objectifs stratégiques. En 2002, la Banque a élaboré un plan à moyen terme pour la période de 2003 à 2005. Le cadre de politique et les priorités qui y sont clairement définis ont guidé au premier chef nos analyses et nos décisions en 2003, une année qui, pour les Canadiens d’un bout à l’autre du pays, aura été troublée par plusieurs événements graves et inattendus.
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19 mai 1999
Rapport sur la politique monétaire, le climat économique et financier international était agité et très incertain en raison de la crise qui sévissait en Asie et des retombées de la déclaration par la Russie d’un moratoire sur le remboursement de sa dette.
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22 octobre 2003
Dans la livraison d’avril du Rapport sur la politique monétaire, nous indiquions que l’inflation avait dépassé de beaucoup la cible de 2 % visée par la Banque du Canada et que les attentes d’inflation à court terme s’étaient orientées à la hausse.
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Dans les modèles courants, les émissions de CO2 augmentent ou diminuent avec la production globale. Cette relation peut cependant être brisée par plusieurs facteurs, dont les gains d’efficacité énergétique et la transition à des sources d’énergie plus propres. Nous évaluons ces facteurs à partir de données américaines et constatons que les changements touchant l’efficacité énergétique des biens de consommation expliquent une part importante des fluctuations des émissions de CO2. Ce constat implique aussi que les modèles qui ne tiennent pas compte de l’efficacité énergétique surestiment probablement l’arbitrage à court terme entre la protection de l’environnement et la performance économique.
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7 novembre 2001
Deux grandes questions dominent l’analyse et la discussion entourant la politique monétaire exposées dans la présente livraison du Rapport sur la politique monétaire : la nature et l’ampleur du ralentissement économique mondial qui s’est amorcé vers la fin de 2000 et les conséquences des attentats terroristes survenus aux États-Unis.
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14 avril 2005
L’évolution de l’économie mondiale est généralement conforme aux attentes, et les perspectives de la poursuite d’une croissance vigoureuse sont assez favorables, surtout à court terme.
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Nous présentons un nouveau cadre qui facilite la modélisation de la structure par terme des taux d’intérêt en tenant compte à la fois des taux d’intérêt positifs et des dynamiques flexibles associées aux séries chronologiques.
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19 juin 2008
La Chine arrive au deuxième rang pour le produit intérieur brut mesuré en parité de pouvoir d'achat et au troisième pour la part qu'elle représente dans les exportations mondiales, et elle possède les réserves de change les plus importantes au monde. Elle ne joue toutefois qu'un rôle mineur dans le système financier international : ses banques sont peu présentes à l'étranger, le renminbi ne circule pratiquement pas hors du pays et les marchés de capitaux chinois ne constituent pas une source de financement significative pour les emprunteurs étrangers. Le faible degré d'intégration de la Chine dans le système financier mondial s'explique par la priorité donnée aux objectifs de politique intérieure. Au fur et à mesure que son économie se développera et que son système financier se fortifiera grâce aux réformes, la Chine gagnera en importance sur les marchés financiers mondiaux. Des changements sont déjà en cours, aiguillonnés par la canalisation de la puissance financière du pays vers les placements étrangers, et les autorités se sont engagées à assouplir le taux de change. Ces changements faciliteront l'intégration de l'économie chinoise dans le système financier mondial. Les auteurs de l'article exposent la situation actuelle et émettent des hypothèses sur l'évolution future des institutions et des marchés financiers chinois.