1er mai 2001
Publications
-
-
6 février 2001
Mise à jour du Rapport sur la politique monétaire – Février 2001
Le 23 janvier, la Banque a abaissé le taux officiel d’escompte de un quart de point de pourcentage pour le fixer à 5 3/4 %*. -
30 janvier 2001
Rapport annuel 2001
L’année qui vient de s’écouler a été riche en défis pour tous les Canadiens. Le ralentissement de l’économie mondiale s’est accentué au fil des mois, ce qui a eu des répercussions sur les ménages, les entreprises et les gouvernements. Puis, la tragédie du 11 septembre est venue aggraver les difficultés économiques auxquelles nous faisions tous face. La Banque s’est acquittée de ses responsabilités en réagissant promptement et énergiquement à une situation qui évoluait rapidement, afin d’étayer la confiance et de soutenir l’économie. -
30 janvier 2001
Rapport annuel 2000
L’économie canadienne a continué de croître à un rythme vigoureux en 2000 et l’inflation est restée faible. -
17 janvier 2001
Revue de la Banque du Canada - Hiver 2000-2001
Page couverture
Matrice pour impression en taille-douce — Banque du Canada, billet de 5 dollars de la série de 1954
La matrice qui illustre la couverture est faite d'acier et mesure environ 8 1/4 pouces sur 4 3/4. Elle fait partie, ainsi que le ciseau et la loupe, de la Collection nationale de monnaies, Banque du Canada.
Photographie : James Zagon, Ottawa
-
-
17 décembre 2000
Les modèles dynamiques d'équilibre général et leur intérêt pour la Banque du Canada
Les modèles dynamiques d'équilibre général (MDEG) sont de plus en plus utilisés en recherche macroéconomique. Dans cet article, l'auteur décrit les principales caractéristiques de ces modèles et souligne la contribution qu'ils apportent à la recherche économique effectuée à la Banque du Canada. Selon l'auteur, le principe de base des MDEG est que la modélisation de l'activité économique, même à l'échelle d'un grand espace économique comme un pays, devrait partir d'une série de problèmes microéconomiques (à l'échelle des individus) qui, une fois résolus, sont agrégés pour représenter la réalité macroéconomique décrite par le modèle. -
16 décembre 2000
La gestion des réserves de change par la Banque du Canada
Cet article décrit l'approche adoptée par la Banque du Canada pour gérer les réserves officielles de change du gouvernement détenues sous forme d'actifs liquides en devises. Il donne un aperçu des opérations du Compte du Fonds des changes (CFC), principal compte où sont conservées les réserves du Canada. L'auteur passe brièvement en revue l'évolution des objectifs et de la fonction de gestion du CFC au cours des 25 dernières années, à la lumière des fluctuations des réserves et des changements qu'ont connus les marchés financiers. Le CFC est financé au moyen des emprunts en devises qu'effectue le Canada sur le marché des capitaux. L'auteur met en lumière la stratégie d'ensemble utilisée pour gérer le Compte et qui consiste à apparier les avoirs et les engagements. En vertu de ce système, les fonds sont investis dans des actifs dont les caractéristiques sont les plus proches qui soient de celles des engagements en devises contractés, ce qui contribue à immuniser le portefeuille contre les risques de change et de taux d'intérêt. -
15 décembre 2000
L'utilisation des swaps de taux d'intérêt et des swaps de devises par le gouvernement fédéral
Les swaps de taux d'intérêt et les swaps de devises sont des contrats par lesquels deux parties conviennent d'échanger des flux de trésorerie selon une formule préétablie pour une période donnée. Depuis 1985, le gouvernement fédéral recourt à ces contrats afin de gérer ses engagements de façon souple et efficiente. Les auteurs décrivent les caractéristiques des accords de swap et les façons dont le gouvernement utilise ces derniers. Ils démontrent que le programme de swaps est rentable, le montant estimatif des économies passées et prévues dépassant les 500 millions de dollars. Les auteurs traitent également des méthodes dont le gouvernement se sert pour évaluer le risque de contrepartie lié à ces opérations. -
16 novembre 2000
Les produits dérivés de crédit
Les produits dérivés de crédit constituent un instrument utile pour les prêteurs qui veulent réduire leur exposition au risque à l'endroit d'un emprunteur particulier, mais qui ne sont pas disposés à se départir de leur créance. Cet instrument permet de transférer le risque à une contrepartie, sans véritablement céder la propriété de l'actif sous-jacent. Principaux acteurs de ce marché en plein essor, les banques commerciales ont recours à ces produits pour diversifier leurs portefeuilles de prêts et leurs autres actifs à risque. Les auteurs examinent la taille et le fonctionnement de ce marché relativement nouveau et se demandent si les produits dérivés de crédit ne risquent pas de fausser les incitatifs au suivi et à la gestion des risques.