G5 - Situation financière des ménages
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Borrow Now, Pay Even Later: A Quantitative Analysis of Student Debt Payment Plans
Nous analysons d’éventuels contrats de prêt étudiant assortis d’un moratoire qui allégeraient le fardeau de la dette d’études des ménages américains en préservant le revenu disponible des emprunteurs tôt dans leur vie. Notre modèle montre que ces contrats, comparativement aux programmes existants, généreraient des gains de bien-être substantiels, semblables à ceux des programmes proposés par l’administration Biden, mais à un coût sensiblement moindre. -
What People Believe About Monetary Finance and What We Can(’t) Do About It: Evidence from a Large-Scale, Multi-Country Survey Experiment
Nous menons une enquête à grande échelle pour mettre en lumière les opinions des gens en matière de finances publiques. Une expérience démontre que les communications des banques centrales peuvent modifier de façon persistante les opinions sur le financement monétaire. Elle donne aussi à penser que les opinions sur le financement monétaire influent sur le soutien en faveur de la discipline budgétaire. -
Unpacking Moving: A Quantitative Spatial Equilibrium Model with Wealth
Nous proposons un modèle pour comprendre les faibles taux de migration observés. Ce modèle tient compte de l’interaction entre lieu d’habitation et richesse dans la décision de déménager. Nous examinons diverses mesures et constatons que des bons de réinstallation temporaires n’améliorent que légèrement le bien-être des ménages, mais que des réglementations moins sévères en matière de logement peuvent réduire l'écart de bien-être en diminuant le prix des logements à l’échelle nationale. -
Gazing at r-star: A Hysteresis Perspective
Bon nombre des raisons avancées pour expliquer le recul des taux d’intérêt lors des 30 dernières années soulignent le rôle joué par le vieillissement de la population ou la montée des inégalités de revenu dans la croissance de la demande agrégée d’actifs sur le long terme. Sans nier l’importance de ces facteurs, cette étude montre tout d’abord que le principal changement à l’origine d’une hausse de la demande d’actifs au cours de cette période a plutôt été le désir accru des ménages (selon leur classe d’âge et catégorie de revenu) d’acquérir des actifs.