Pierre St-Amant - Dernières parutions
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The Productivity Slowdown in Canada: An ICT Phenomenon?
Nous cherchons à déterminer si une baisse de la contribution des technologies de l’information et des communications (TIC) à la croissance de la productivité pourrait expliquer le ralentissement de la productivité observé au Canada depuis le début des années 2000. À cette fin, nous examinons plusieurs méthodes visant à cerner les canaux par lesquels les TIC pourraient avoir une incidence sur l’accroissement de la productivité globale. -
Firm Dynamics and Multifactor Productivity: An Empirical Exploration
Certaines indications donnent à penser que le dynamisme des entreprises a diminué dans les économies avancées. En particulier, les taux d’entrée et de sortie d’entreprises ont chuté, ce qui semble indiquer que le processus de destruction créatrice a perdu de sa vigueur. Parallèlement, la croissance de la productivité a ralenti. Certains croient que la baisse des taux d’entrée et de sortie explique en partie la décélération de la croissance de la productivité. -
Dismiss the Gap? A Real-Time Assessment of the Usefulness of Canadian Output Gaps in Forecasting Inflation
Nous utilisons une nouvelle base de données canadiennes en temps réel afin d’étudier diverses mesures de l’écart de production, dont des mesures élaborées récemment qui se fondent sur des modèles intégrant un grand nombre de variables (et nécessitant ainsi des données en temps réel pour un grand nombre de variables). -
April 2016 Annual Reassessment of Potential Output in Canada
Cette note résume la réévaluation annuelle de la croissance de la production potentielle effectuée par la Banque en 2016. Le taux d’augmentation devrait s’établir à 1,5 % pour la période 2016-2018, et à 1,6 % pour la période 2019-2020. La croissance projetée sera plus faible que la prévision présentée dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril 2015. -
Credit Conditions and Consumption, House Prices and Debt: What Makes Canada Different?
Il est communément admis qu’aux États-Unis, une hausse des prix des logements induit un accroissement de la consommation par le biais d’effets de garantie, et peut-être de richesse. Or, l’existence de tels canaux au Canada aurait des conséquences considérables pour la transmission de la politique monétaire. -
Trends in Firm Entry and New Entrepreneurship in Canada
Des données publiées récemment font ressortir une tendance à la baisse qui touche aussi bien le taux de création d’entreprises que le taux d’entrepreneuriat depuis le début des années 1980 au Canada. Les auteurs mettent en évidence cette tendance et en examinent les explications possibles. -
Measuring Potential Output at the Bank of Canada: The Extended Multivariate Filter and the Integrated Framework
L’estimation de la production potentielle et de l’écart de production - soit la différence entre la production effective et potentielle - est importante pour la conduite appropriée de la politique monétaire. Cependant, la production potentielle n’étant pas observable, la mesure et l’interprétation de cette variable, et par conséquent de l’écart de production, sont entourées d’incertitude. -
15 août 2013
L’exactitude des combinaisons de prévisions à court terme
Les auteurs évaluent si la combinaison de prévisions du PIB réel issues de différents modèles permet d’améliorer le pouvoir prédictif et examinent quelles méthodes de combinaison donnent les meilleurs résultats. Conformément aux travaux antérieurs, ils concluent que les prévisions combinées sont habituellement plus précises que celles tirées de divers modèles de référence pris individuellement. À l’encontre des données de plusieurs études, ils constatent néanmoins que l’attribution aux modèles de pondérations non uniformes, déterminées en fonction de la qualité des prévisions passées de ceux-ci, a en général pour effet d’accroître le pouvoir prédictif lorsque les prévisions diffèrent sensiblement d’un modèle à l’autre. -
18 novembre 2010
Tensions financières, politique monétaire et activité économique
La récente crise mondiale a été caractérisée par l'intensité remarquable de l'effet de rétroaction négatif entre l'évolution du secteur financier et l'économie réelle.