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Les stratégies de gestion de la liquidité auxquelles recourent les gestionnaires de fonds – soutenues par les mesures des pouvoirs publics – ont contribué à limiter la hausse des demandes de rachat de parts des fonds obligataires engendrées par la pandémie de COVID-19 et à éviter une nouvelle détérioration de la liquidité des marchés obligataires. Les fonds obligataires se sont néanmoins retrouvés avec moins de réserves de liquidités, ce qui pourrait augmenter leur vulnérabilité s’ils devaient encore répondre à d’autres demandes de rachats massifs.
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Nous analysons les états financiers et les cours des actions des sociétés cotées en bourse constituées au Canada qui déclarent leurs émissions de gaz à effet de serre. Nous constatons que ces entreprises ont surtout recours au financement par actions. Nous observons aussi que les investisseurs en actions tiennent de plus en plus compte des émissions des entreprises dans leurs décisions de placement, mais que cette information semble avoir peu d’incidence. Cela laisse entendre que les actifs exposés aux changements climatiques risquent de faire l’objet d’une réévaluation subite.
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21 février 2013
Cette livraison renferme trois articles : le premier fait le point sur la coordination des politiques macroéconomiques à l’échelle internationale depuis la crise financière mondiale, le second analyse la reprise de l’économie américaine au sortir de la Grande Récession et le troisième est un résumé du colloque annuel tenu par la Banque en octobre 2012 sur l’intermédiation et les vulnérabilités financières.
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Cette étude examine les effets de l'endettement du Canada sur les taux d'intérêt réels de long terme au Canada à l'aide de la méthode des VECM (Vector Error Correction Model). Nos résultats montrent qu'il existe une forte relation de cointégration entre les taux d'intérêt réels pratiqués au Canada, les taux d'intérêt réels aux États-Unis, le ratio d'endettement public et le ratio d'endettement extérieur du Canada.
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19 juin 2008
La Chine arrive au deuxième rang pour le produit intérieur brut mesuré en parité de pouvoir d'achat et au troisième pour la part qu'elle représente dans les exportations mondiales, et elle possède les réserves de change les plus importantes au monde. Elle ne joue toutefois qu'un rôle mineur dans le système financier international : ses banques sont peu présentes à l'étranger, le renminbi ne circule pratiquement pas hors du pays et les marchés de capitaux chinois ne constituent pas une source de financement significative pour les emprunteurs étrangers. Le faible degré d'intégration de la Chine dans le système financier mondial s'explique par la priorité donnée aux objectifs de politique intérieure. Au fur et à mesure que son économie se développera et que son système financier se fortifiera grâce aux réformes, la Chine gagnera en importance sur les marchés financiers mondiaux. Des changements sont déjà en cours, aiguillonnés par la canalisation de la puissance financière du pays vers les placements étrangers, et les autorités se sont engagées à assouplir le taux de change. Ces changements faciliteront l'intégration de l'économie chinoise dans le système financier mondial. Les auteurs de l'article exposent la situation actuelle et émettent des hypothèses sur l'évolution future des institutions et des marchés financiers chinois.
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11 mai 2017
Pour certains, la quatrième révolution industrielle est imminente à l’échelle de l’économie mondiale. Dans la présente livraison, des chercheurs de la Banque s’intéressent aux répercussions possibles de la numérisation de l’économie de même qu’aux questions suivantes : l’efficacité de certaines mesures de politique monétaire non traditionnelles dans une petite économie ouverte, l’utilisation des obligations du gouvernement du Canada tout au long de leur cycle de vie, ainsi que la façon dont les six grandes banques canadiennes choisissent leurs stratégies de financement et les raisons qui justifient ces choix. Le dernier article traite de la lente croissance de l’investissement des entreprises.
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22 juin 2005
Afin de mieux comprendre les retombées des mesures de politique monétaire de la Banque du Canada sur les rendements des obligations et des bons du Trésor, Andreou évalue l'incidence des annonces au sujet du taux directeur sur les obligations à court et à long terme durant la période allant de 1996 à 2004. Pour faciliter l'analyse, les mesures en question sont décomposées en parts attendue et inattendue. L'auteur cherche aussi à déterminer si l'introduction du régime des dates d'annonce préétablies a eu une influence sur les résultats, y compris sur les perceptions du marché. La principale constatation est que les décisions inattendues de la Banque ont un effet significatif sur la portion à court terme de la courbe de rendement, mais cet effet décroît au fur et à mesure que l'échéance augmente. La deuxième constatation, soit que l'incidence d'une décision inattendue de la Banque sur les taux d'intérêt à long terme est moindre depuis l'adoption du régime des dates d'annonce préétablies, donne à penser que les objectifs à long terme de la politique monétaire menée par la Banque sont bien compris et qu'ils sont crédibles.
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23 mai 2003
Durant les années 1990, la Banque du Canada a apporté plusieurs modifications au cadre de conduite de la politique monétaire. Dans les décennies 1960 et 1970, les décisions relatives à cette dernière étaient prises dans un contexte d'opacité entourant aussi bien les moyens utilisés que les fins visées, ce qui tendait à soustraire la Banque à la critique et à son obligation de rendre des comptes. Depuis les années 1970, la Banque s'attache à faire preuve de plus d'ouverture et de transparence. Elle a ainsi délaissé ses nombreux outils d'intervention pour se concentrer sur un objectif unique et clairement défini : la maîtrise de l'inflation.
Selon une enquête récente, la Banque du Canada se situe dans la moyenne des banques centrales sur le plan de la transparence, et le bilan de l'institution souffre de ce qu'elle ne publie ni les prévisions sur lesquelles elle fonde ses décisions de politique monétaire, ni les procès-verbaux des réunions de son organe décisionnel, ni les relevés des votes pris à ces réunions. Chant estime que les changements que la Banque a opérés ont été très profitables au public, mais qu'elle devrait continuer d'encourager les recherches sur les bienfaits d'un taux d'inflation bas et stable et de renseigner les autres décideurs et la population sur les résultats obtenus.