David Cimon - Dernières parutions
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Cyber Risk and Security Investment
Nous avons élaboré un modèle mandant-mandataire pour les cyberattaques dans lequel les clients paient des frais et délèguent les décisions de sécurité à des plateformes financières. Nous déduisons des implications vérifiables sur la vulnérabilité des clients aux cyberattaques et les frais facturés. -
Central Bank Liquidity Facilities and Market Making
Nous élaborons un modèle théorique d’achats d’actifs par les banques centrales. Ce modèle permet d’expliquer comment, en situation de crise, ces achats allègent les pressions exercées sur les courtiers. -
Order Flow Segmentation, Liquidity and Price Discovery: The Role of Latency Delays
Les bourses ralentissent volontairement les flux d’exécution des ordres en y introduisant des délais de traitement ou « ralentisseurs ». Les partisans de ce mécanisme avancent que celui-ci protège les teneurs de marché contre l’arbitrage de place pratiqué par les opérateurs à haute fréquence; leurs détracteurs, eux, font valoir que ces délais favorisent l’effacement des cours (quote fading) auquel les teneurs de marché peuvent se livrer. Nous construisons un modèle faisant intervenir sur un marché fragmenté des opérateurs informés avec, d’un côté, une bourse où l’on gère un carnet d’ordres conventionnel et, de l’autre, une bourse qui introduit des délais dans le traitement des ordres de marché. -
Banking Regulation and Market Making
Dans notre étude, nous modélisons la réaction des maisons de courtage aux exigences réglementaires relatives aux fonds propres, aux positions et aux liquidités, comme celles du dispositif de Bâle III. Nous montrons que si les prix des actifs sont davantage touchés, les écarts entre les cours acheteur-vendeur ne changent pas et les volumes des opérations peuvent même augmenter. -
Broker Routing Decisions in Limit Order Markets
Cet article étudie principalement les conflits d’intérêts dans le marché du courtage. Les courtiers se trouvent devant un conflit d’intérêts lorsque les commissions qu’ils reçoivent des investisseurs diffèrent des coûts qu’exigent les différentes plateformes de négociation.