G31 - Choix des investissements; investissements en capital fixe et en stocks
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Debt-Relief Programs and Money Left on the Table: Evidence from Canada's Response to COVID-19
Pendant la pandémie de COVID-19, les institutions financières canadiennes ont offert des mesures d’allègement financier pour aider les emprunteurs à composer avec les pertes d’emploi et l’incertitude économique. Nous nous penchons sur les faibles taux de recours à ces mesures et constatons que pour être efficaces, celles-ci doivent être bien connues et faciles à utiliser. -
Corporate investment and monetary policy transmission in Canada
Quand les taux d’intérêt varient de façon inattendue, les petites entreprises modifient nettement leur taux d’investissement. Les grandes entreprises, elles, ont une réaction plus modérée. Ce constat donne à penser que les conditions financières sont un important canal de transmission de la politique monétaire et que les caractéristiques des entreprises peuvent nous aider à mieux comprendre les fluctuations de leurs investissements. -
The Canadian corporate investment gap
Les investissements des entreprises ont été plus bas que prévu au Canada et à l’étranger depuis la crise financière de 2007-2009. Cet écart se reflète dans les autres décisions financières des sociétés, celles-ci ayant en effet accru leurs liquidités et versements de dividendes et diminué leurs émissions d’obligations et d’actions. -
Identifying Aggregate Shocks with Micro-level Heterogeneity: Financial Shocks and Investment Fluctuation
L’auteur met en évidence les chocs financiers globaux et en quantifie les effets sur les investissements des entreprises à partir d’un modèle d’équilibre général dynamique et stochastique (EGDS) estimé dans lequel les entreprises sont hétérogènes. En moyenne, les chocs financiers ne sont responsables que de 1,1 % des variations de l’investissement global des sociétés ouvertes américaines. -
Firm-level Investment Under Imperfect Capital Markets in Ukraine
Dans cette étude, je mets au point et estime un modèle d’investissement en capital fixe par des entreprises faisant face à des contraintes d’emprunt. -
The Role of Corporate Saving over the Business Cycle: Shock Absorber or Amplifier?
Dans la présente étude, nous montrons tout d’abord que les entreprises ont un comportement d’épargne contracyclique, qui varie de façon non monotone avec leur taille. Nous élaborons ensuite un modèle d’équilibre général dynamique et stochastique intégrant des entreprises hétérogènes pour expliquer cette tendance et en étudier l’incidence sur les cycles économiques. -
11 mai 2017
Comment expliquer l’atonie de l’investissement des entreprises à l’échelle mondiale? Éléments de réponse tirés des économies avancées
Plusieurs facteurs qui influencent les investissements des entreprises peuvent offrir une explication à l’atonie de l’investissement observée dans les économies avancées depuis la crise financière mondiale, et plus particulièrement depuis 2014. La lenteur du rythme de croissance de la demande globale ne peut rendre entièrement compte de la faiblesse récente des dépenses d’investissement, qui apparaît essentiellement liée à l’effondrement des prix internationaux des matières premières et à la montée de l’incertitude économique. À terme, le taux de progression des investissements des entreprises demeurera vraisemblablement inférieur à ce qu’il était avant la crise, pour une bonne part à cause de facteurs structurels comme le vieillissement démographique. -
What Is Behind the Weakness in Global Investment?
La reprise de l’investissement des entreprises privées à l’échelle mondiale reste anémique plus de sept ans après la crise financière. Notre étude contribue au débat actuel sur les causes de cette faiblesse en explorant le rôle des perspectives de croissance et de l’incertitude comme facteurs explicatifs de l’évolution de l’investissement privé non résidentiel dans les grandes économies avancées depuis la crise. -
The Private Equity Premium Puzzle Revisited
L’auteure applique à une plus longue période la méthode qu’utilisent Moskowitz et Vissing-Jørgensen (2002) pour calculer le rendement des investissements des entrepreneurs américains. En premier lieu, en suivant la même approche qu’eux, elle reproduit les résultats initiaux obtenus à partir de l’enquête sur les finances des consommateurs pour les années 1989 à 1998 et montre que les entreprises à capitaux privés et les sociétés cotées en bourse offraient alors des rendements similaires.