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Les auteurs élaborent un modèle de recherche de capital de risque dans lequel le nombre de jumelages réussis entre entrepreneurs et sociétés de capital de risque à n'importe quel moment est fonction du nombre d'entrepreneurs à la recherche de financement, du nombre de sociétés de capital de risque à la recherche d'entrepreneurs et du nombre d'ouvertures dans chacune de ces sociétés.

Dans une étude récente, Chang, Gomes et Schorfheide (2002) élargissent le modèle type de cycles réels en y introduisant un mécanisme d'apprentissage qui permet à l'offre de travail d'influencer la productivité future.

Les auteurs sont parmi les premiers à présenter des données empiriques sur les ajustements du marché du travail à l'évolution du taux de change dans les industries manufacturières canadiennes.

Dans un modèle de recherche d'emploi formalisant explicitement la production, où les agents accumulent des quantités hétérogènes de capital humain, le salaire individuel est fonction du capital humain moyen au sein de la population en recherche d'emploi.

Les auteurs présentent un modèle économique à changement de régime qui permet de reproduire les énigmes relatives à l'aversion pour le risque et au facteur d'actualisation stochastique mises en évidence par Jackwerth (2000).

Les auteurs étudient l'évolution récente de la proportion des travailleurs autonomes au Canada. Entre 1987 et 1998, cette proportion a progressé de 3,5 points de pourcentage et est passée de 13,8 % à 17,3 %.

La différence entre le montant des limites de crédit accordées et le montant effectif des emprunts suffit à créer sur le marché des cartes de crédit une asymétrie d'information.

L'objet de l'étude est l'extension du concept bien connu de borne de variance proposé par Hansen et Jagannathan.

Afin de bien rendre compte de la dynamique des variables macroéconomiques clés, les chercheurs intègrent divers mécanismes de propagation interne à leurs modèles.

Les travaux fondés sur l'emploi de données de basse fréquence montrent que les chocs macroéconomiques contribuent peu aux covariations des marchés boursiers internationaux.