Le Système de transfert de paiements de grande valeur (STPGV) a été conçu pour répondre aux normes internationales en matière de limitation des risques tout en réduisant au minimum les coûts au titre des garanties exigées des participants.
L'auteur décrit le modèle d'un système bancaire corrompu où les banquiers prêtent intentionnellement des fonds au taux du marché pour financer des projets plus risqués que ce n'est normalement le cas à un tel taux.
Les auteurs mesurent les économies d'échelle et le rapport efficacité-coût dans le temps des six principales banques canadiennes. Pour ce faire, à partir d'un ensemble unique de données longitudinales allant de 1983 à 2003, ils estiment des fonctions de coût regroupées, de type translog, à partir desquelles ils établissent des indices d'efficience relative et d'économie d'échelle.
Document de travail du personnel 2005-11Greg Caldwell
L'auteur élabore un modèle théorique de fermeture d'une banque défaillante, dans lequel les autorités doivent décider, dans un premier temps, de l'opportunité de fermer ou non l'institution et, dans un deuxième temps, des modalités de fermeture.
D'après le modèle de Burkart et Ellingsen (2004), les entreprises à faible ou moyenne rentabilité auraient recours au crédit fournisseur pour compenser les effets de rationnement du crédit bancaire.
Pour la période allant de 1982 à 2002, les auteurs appliquent à six banques canadiennes inscrites en bourse le modèle d'évaluation des actifs proposé par Rabinovitch (1989).
Les auteurs procèdent à une simulation contrefactuelle de l'incidence des règles proposées par le Nouvel accord de Bâle sur les fonds propres (Bâle II), et notamment des modifications que le Comité de Bâle a soumises en octobre 2003 pour le traitement des pertes anticipées et inattendues.
L'auteur présente des données à l'appui de certains faits stylisés sur la structure du système financier canadien et les examine à la lumière des changements législatifs intervenus au Canada.
À la lumière de la littérature théorique et empirique, l'auteure examine le paradigme traditionnel voulant qu'il existe un arbitrage entre l'efficience économique et la stabilité du système bancaire.