E0 - Généralités
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Overlooking the online world: Does mismeasurement of the digital economy explain the productivity slowdown?
Depuis le milieu des années 2000, la productivité du travail ralentit au Canada malgré les énormes avancées technologiques qui étaient censées la faire progresser. L’étude cherche à déterminer si la sous-évaluation des retombées de l’économie numérique peut expliquer ce paradoxe. -
Production potentielle au Canada : réévaluation de 2020
Après la crise de la COVID-19, la croissance de la production potentielle devrait se stabiliser à environ 1,2 %, ce qui est inférieur à la croissance moyenne de 1,8 % observée de 2010 à 2018. Le profil de croissance a été revu à la baisse par rapport à celui établi lors de la réévaluation d’avril 2019. Comme l’évolution de la pandémie est inconnue, ces estimations sont empreintes d’une plus grande incertitude que dans les années précédentes. -
Production potentielle au Canada : réévaluation de 2019
La production potentielle devrait afficher une croissance moyenne de 1,8 % de 2019 à 2021 et de 1,9 % en 2022. Même si l’apport du facteur travail tendanciel à la croissance de la production potentielle devrait diminuer entre 2019 et 2022, celui de la productivité tendancielle du travail devrait augmenter. -
Canada’s Monetary Policy Report: If Text Could Speak, What Would It Say?
Dans cette note, nous analysons comment les explications données dans le Rapport sur la politique monétaire (RPM) de la Banque du Canada ont évolué. Nous présentons des statistiques descriptives sur le texte principal, y compris sa longueur, les mots les plus employés et son niveau de lisibilité. Même si chaque gouverneur se préoccupe avant tout des événements macroéconomiques du jour et du mandat de ciblage de l’inflation, nous constatons que les mots utilisés dans le RPM varient en fonction du gouverneur en poste. -
GDP by Industry in Real Time: Are Revisions Well Behaved?
La Banque du Canada recourt abondamment aux données mensuelles sur le produit intérieur brut (PIB) réel par branche d’activité afin d’asseoir sa surveillance de l’activité économique et d’en faire usage dans ses outils de prévision pour la période courante. Cela en fait l’une des plus importantes séries chronologiques de haute fréquence pour effectuer des prévisions dans l’immédiat concernant l’économie canadienne. -
An Alternative Estimate of Canadian Potential Output: The Multivariate State-Space Framework
Dans cette étude, nous élargissons le modèle espace d’états proposé par Blagrave et autres (2015) en décomposant la production potentielle du Canada en deux facteurs : la productivité tendancielle du travail et le facteur travail tendanciel. -
The Framework for Risk Identification and Assessment
Les modèles d’évaluation des risques occupent une place importante parmi les outils d’analyse dont la Banque du Canada se sert pour jauger la résilience du système financier. Dans cette étude, nous décrivons le Cadre d’identification et d’évaluation des risques, une série de modèles conçus à la Banque pour quantifier l’incidence des risques liés à la stabilité financière sur l’économie dans son ensemble et sur divers participants au système financier en particulier (ménages, entreprises et banques). -
Monetary Policy Uncertainty: A Tale of Two Tails
Dans cette étude, nous rendons compte d’une forte asymétrie dans l’évolution des attentes à l’égard du taux des fonds fédéraux, asymétrie que nous faisons correspondre à des mesures de l’incertitude concernant la politique monétaire. Nous montrons que les périodes de resserrement monétaire sont liées à une incertitude « négative » (taux directeur supérieur aux attentes) et celles d’assouplissement monétaire, à une incertitude « positive » (taux directeur inférieur aux attentes). -
Noisy Monetary Policy
Nous introduisons des informations limitées sur la politique monétaire. Les agents reçoivent des signaux de la banque centrale qui révèlent de nouvelles informations (des « nouvelles ») sur l’évolution future du taux directeur avant qu’il ne soit réellement modifié. Cependant, ces signaux sont brouillés par du « bruit ».