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16 février 2022

Prévoir l’imprévisible : les décisions d’une banque centrale en période de turbulences

Discours (diffusion Web) Timothy Lane École de politiques publiques, Université de Calgary Calgary (Alberta)
M. Tim Lane, sous-gouverneur à la Banque du Canada, explique comment la Banque réagit à l’incertitude en période de turbulences.
13 mai 2014

L’art et la science de la prévision du prix réel du pétrole

Les prévisions du prix du pétrole brut jouent un rôle significatif dans la conduite de la politique monétaire, particulièrement dans les pays producteurs de matières premières comme le Canada. L’auteure présente divers modèles de prévision mis au point récemment qui, une fois combinés, peuvent générer des projections du prix du pétrole qui sont en moyenne plus précises que les prévisions issues de la courbe des cours à terme. Elle illustre également la manière dont les décideurs peuvent évaluer les risques associés à la prévision de référence des cours pétroliers et déterminer les causes des fluctuations passées du prix de l’or noir.
22 juin 2005

L'incidence des décisions inattendues de politique monétaire sur le marché des titres à revenu fixe

Afin de mieux comprendre les retombées des mesures de politique monétaire de la Banque du Canada sur les rendements des obligations et des bons du Trésor, Andreou évalue l'incidence des annonces au sujet du taux directeur sur les obligations à court et à long terme durant la période allant de 1996 à 2004. Pour faciliter l'analyse, les mesures en question sont décomposées en parts attendue et inattendue. L'auteur cherche aussi à déterminer si l'introduction du régime des dates d'annonce préétablies a eu une influence sur les résultats, y compris sur les perceptions du marché. La principale constatation est que les décisions inattendues de la Banque ont un effet significatif sur la portion à court terme de la courbe de rendement, mais cet effet décroît au fur et à mesure que l'échéance augmente. La deuxième constatation, soit que l'incidence d'une décision inattendue de la Banque sur les taux d'intérêt à long terme est moindre depuis l'adoption du régime des dates d'annonce préétablies, donne à penser que les objectifs à long terme de la politique monétaire menée par la Banque sont bien compris et qu'ils sont crédibles.

Méthodologie de construction de séries de taux de défaut pour l’industrie canadienne

Document d’analyse du personnel 2013-2 Ramdane Djoudad, Étienne Bordeleau
Les taux de défaut sont des séries couramment utilisées dans les simulations de crise. Au Canada comme dans beaucoup d’autres pays, on ne dispose pas de séries rétrospectives relatives aux taux de défaut sectoriels sur les prêts bancaires aux entreprises.
21 août 2003

Le point sur la « dollarisation » du Canada

Les auteurs décrivent une enquête spéciale sur les pratiques des entreprises canadiennes en matière de paiement et de présentation de l'information financière qui a été menée par les bureaux régionaux de la Banque du Canada afin de déterminer si le dollar américain a commencé à supplanter le dollar canadien comme unité de compte. La Banque a demandé à un éventail représentatif d'entreprises en quelles monnaies : i) elles indiquent leurs prix de vente à leurs clients canadiens; ii) elles les indiquent à leurs clients étrangers; iii) elles établissent leurs états financiers; iv) elles fixent les salaires. Les résultats présentés actualisent certains de ceux exposés dans un article de Murray et Powell paru antérieurement dans la Revue de la Banque du Canada. Les données indiquent qu'en dépit de la prédominance du billet vert dans le commerce mondial et de son rôle d'étalon de valeur international, l'utilisation du dollar américain au Canada est très limitée. La vaste majorité des sociétés canadiennes établissent leurs prix et leurs états financiers en dollars canadiens, et très peu de Canadiens touchent un salaire versé dans une monnaie étrangère. Le dollar canadien demeure nettement privilégié pour l'établissement de la plupart des prix et des états financiers au Canada et la « dollarisation » reste un phénomène marginal.
17 novembre 2016

Récentes modifications à la politique d’octroi d’une aide d’urgence de la Banque du Canada

L’aide d’urgence est un prêt ou une avance de dernier ressort que la Banque du Canada accorde, à sa discrétion et moyennant garantie, aux institutions financières et aux infrastructures de marchés financiers admissibles aux prises avec de graves problèmes de liquidité. En décembre 2015, la Banque a révisé sa politique d’octroi d’une aide d’urgence afin de : 1) remplacer le critère de solvabilité de l’institution financière par une nouvelle exigence, à savoir la mise en place d’un cadre de redressement et de résolution crédible; 2) inclure les créances hypothécaires dans les garanties acceptables; 3) clarifier les critères d’admissibilité imposés aux infrastructures de marchés financiers et aux institutions de dépôt provinciales.
14 décembre 1999

Les tendances du commerce extérieur canadien

L'auteur examine divers aspects de la tenue du commerce extérieur canadien à la lumière des grandes tendances observées dans les échanges internationaux au cours des dernières décennies. Le Canada a intégré davantage son économie à l'économie mondiale, et cette intégration se manifeste par l'intensification de sa vocation exportatrice et de sa dépendance à l'endroit des intrants importés et par l'ouverture accrue de ses marchés intérieurs à la concurrence étrangère. L'auteur analyse la composition des échanges du Canada et la tendance à la hausse des échanges dans les deux sens de produits similaires. Il examine aussi l'intégration croissante du commerce entre les pays d'un même continent, qui s'est traduite au Canada par une plus grande concentration des exportations à destination des États-Unis.
19 novembre 2002

Parité des pouvoirs d'achat : définition, mesure et interprétation

Les auteurs étudient le concept de la parité des pouvoirs d'achat (PPA) et ses implications pour la détermination de la valeur d'équilibre du taux de change du dollar canadien. La PPA a deux applications, d'abord en tant que théorie de la détermination du taux de change et ensuite comme outil de comparaison des niveaux de vie entre pays. Dans l'optique de la détermination du taux de change, la théorie de la parité des pouvoirs d'achat est surtout utile en ce qu'elle nous rappelle que la politique monétaire n'influe pas à long terme sur le taux de change réel, puisque celui-ci peut s'écarter de façon persistante de sa valeur fondée sur la PPA en réaction aux chocs réels. Pour comparer les niveaux de vie entre pays, on calcule les taux de change assurant la parité des pouvoirs d'achat en comparant les prix de paniers nationaux de consommation. Les taux ainsi établis servent à convertir le revenu par habitant dans divers pays en une monnaie commune. Ils sont utiles parce qu'ils permettent de compenser l'effet des différences entre les niveaux de prix nationaux et d'obtenir des mesures comparables du pouvoir d'achat, mais ils ne constituent pas une mesure fiable de la valeur d'équilibre du taux de change. Les auteurs concluent que l'écart actuel entre la valeur effective du dollar canadien et sa valeur selon la PPA ne signifie pas que celui-ci est sous-évalué; cet écart reflète plutôt l'incidence de facteurs réels persistants, en particulier la baisse des cours des produits de base.
Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) de recherche: Taux de change
13 mai 2014

Le dollar canadien comme monnaie de réserve

L’article procure un aperçu de la croissance des actifs libellés en dollars canadiens dans les réserves officielles de change. Selon des estimations fondées sur des données du Fonds monétaire international et des analyses internes de la Banque du Canada, la valeur totale de ces titres, qui était négligeable avant 2008, aurait atteint environ 200 milliards de dollars américains au troisième trimestre de 2013. Les déterminants de cette augmentation sont examinés, de même que les répercussions qu’elle pourrait avoir sur les marchés canadiens des titres d’emprunt, notamment une diminution des rendements et, partant, une réduction du coût du financement pour le gouvernement du Canada, et une incidence défavorable sur la liquidité des marchés.
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