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Fiscal and Monetary Stabilization Policy at the Zero Lower Bound: Consequences of Limited Foresight

Document de travail du personnel 2021-51 Michael Woodford, Yinxi Xie
Comment les résultats des politiques monétaire et budgétaire de stabilisation à la borne du zéro changent-ils quand les horizons de planification des décideurs dans l’économie sont limités? Nous examinons les effets des prévisions limitées sur les outils de politique et l’interaction entre les politiques monétaire et budgétaire.
9 juin 2016

Revue du système financier - Juin 2016

Le niveau de risque global pesant sur le système financier canadien est essentiellement inchangé par rapport à ce qu’il était il y a six mois, indique la Revue du système financier (RSF). Les vulnérabilités des ménages se sont accentuées, mais la reprise économique en cours au Canada implique que le risque global reste au même niveau. La Banque met en lumière trois vulnérabilités dans le système financier : le niveau élevé d’endettement des ménages, les déséquilibres dans certains marchés du logement régionaux et la fragilité de la liquidité des marchés de titres à revenu fixe.

Has wage setting changed in Canada? Evidence from the pre-pandemic 2020 Wage-Setting Survey

Note analytique du personnel 2022-10 David Amirault, Sarah Miller, Matthieu Verstraete
La Banque du Canada a mené l’enquête sur l’établissement des salaires de 2020 juste avant le début de la pandémie. Cette enquête visait à examiner une tendance inhabituelle, soit l’augmentation modérée des salaires en 2018 et 2019 malgré le resserrement du marché du travail. Même si cette énigme commençait à se résoudre au moment de l’enquête, les résultats montrent des variations de plusieurs facteurs qui pourraient avoir des effets importants sur la dynamique des salaires.
14 août 2000

Analyse des niveaux actuels des cours en bourse

L'ascension des bourses nord-américaines en 1999 et au début de 2000 a amené les observateurs à s'interroger sur les hypothèses susceptibles de justifier le maintien de niveaux aussi élevés des cours. Dans cet article, les techniques usuelles d'évaluation des cours sont appliquées aux marchés boursiers du Canada et des États-Unis. Dans la méthode des taux de rendement comparatifs, les taux d'intérêt réels (plutôt que nominaux) sont considérés comme de meilleurs points de comparaison pour étudier le rendement lié aux indices boursiers. De façon générale, les écarts entre les taux d'intérêt réels et les rendements boursiers se sont creusés au cours des deux dernières années. Le modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes à recevoir permet de rattacher la prime de risque sur les actions à la croissance anticipée des dividendes. Il donne à penser que, pour que les cours en bourse (mesurés à la fin de février 2000) se maintiennent à leurs niveaux élevés, il faudrait que les dividendes croissent rapidement ou que les primes de risque sur les actions demeurent anormalement faibles. L'auteur note la hausse fulgurante des cours dans le compartiment des valeurs technologiques pendant l'année 1999 (Graphique4). Il analyse ensuite les valorisations boursières une fois ce compartiment exclu du marché canadien. Lorsqu'il utilise pour cela la méthode des taux de rendement comparatifs, les écarts de rendement obtenus sont un peu moins élevés; quand il a recours au modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes, il n'est pas nécessaire de postuler une croissance future des dividendes aussi rapide ni une prime de risque aussi faible pour justifier le niveau des cours actuels. L'article met en lumière deux effets de la « nouvelle économie » sur les marchés boursiers. Le premier est le fléchissement du ratio dividendes/cours, du fait que les sociétés de haute technologie réinvestissent en général le gros de leurs bénéfices et versent peu de dividendes. Le second a trait à la possibilité d'un relèvement du taux d'accroissement de la productivité, qui accréditerait l'hypothèse d'une croissance des bénéfices supérieure à la progression observée dans le passé. Plusieurs hypothèses sont formulées pour expliquer la diminution des primes de risque sur les actions. Alors que la volatilité à court terme a incontestablement augmenté sur le marché boursier ces dernières années, il se peut que le bas taux d'inflation et la meilleure tenue de l'économie, combinés à l'évolution démographique et aux préférences des investisseurs, aient contribué à faire baisser la prime de risque exigée par ces derniers. Un scénario fondé sur une progression rapide des dividendes à moyen terme puis un retour à plus long terme aux taux de croissance observés antérieurement permet d'expliquer dans une certaine mesure les cours élevés observés actuellement, mais il présuppose des hypothèses qui rompent avec l'évolution passée.

Exploring the potential benefits of inflation overshooting

Note analytique du personnel 2021-16 Robert Amano, Marc-André Gosselin, Kurt See
Après une période où le taux directeur est à sa valeur plancher, le dépassement temporaire de la cible d’inflation peut procurer d’importants avantages économiques. Cela peut être particulièrement vrai pour les segments vulnérables de la population, tels que les travailleurs qui ont de faibles liens avec le marché du travail et les chômeurs de longue durée.

A Q-Theory of Banks

Document de travail du personnel 2021-44 Juliane Beganau, Saki Bigio, Jeremy Majerovitz, Matías Vieyra
Au moyen de données boursières sur les banques, nous montrons que la valeur comptable des prêts tient compte tardivement des pertes. Cette comptabilisation différée s’avère importante sur le plan de la réglementation, car les exigences imposées par les organismes de réglementation sont établies en fonction des valeurs comptables.
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