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11 février 2013
Le sous-gouverneur Tim Lane traite des implications transfrontalières de l’instabilité financière et de la réforme financière.
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Les auteurs comparent la capacité de règles simples, comportant soit une cible d’inflation soit une cible de niveau des prix, à stabiliser l’économie dans son ensemble à la suite de chocs similaires à ceux survenus au Canada et aux États Unis entre 1983 et 2004.
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Dans cette étude, la méthode structurelle d'autorégression vectorielle est utilisée pour décomposer le taux d'intérêt nominal aux États-Unis en une composante d'inflation anticipée et en une composante de taux d'intérêt réel ex ante. Pour identifier les chocs d'inflation anticipée et de taux d'intérêt réel ex ante, l'auteur fait l'hypothèse que le taux d'intérêt nominal et le taux d'inflation anticipé sont cointégrés (1,1) et que le taux d'intérêt réel est stationnaire.
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24 février 2016
Le sous-gouverneur Lawrence Schembri se penche sur l’endettement des ménages, le risque qu’il fait peser sur la stabilité financière et le rôle de la Banque du Canada.
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14 août 2000
L'ascension des bourses nord-américaines en 1999 et au début de 2000 a amené les observateurs à s'interroger sur les hypothèses susceptibles de justifier le maintien de niveaux aussi élevés des cours. Dans cet article, les techniques usuelles d'évaluation des cours sont appliquées aux marchés boursiers du Canada et des États-Unis.
Dans la méthode des taux de rendement comparatifs, les taux d'intérêt réels (plutôt que nominaux) sont considérés comme de meilleurs points de comparaison pour étudier le rendement lié aux indices boursiers. De façon générale, les écarts entre les taux d'intérêt réels et les rendements boursiers se sont creusés au cours des deux dernières années.
Le modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes à recevoir permet de rattacher la prime de risque sur les actions à la croissance anticipée des dividendes. Il donne à penser que, pour que les cours en bourse (mesurés à la fin de février 2000) se maintiennent à leurs niveaux élevés, il faudrait que les dividendes croissent rapidement ou que les primes de risque sur les actions demeurent anormalement faibles.
L'auteur note la hausse fulgurante des cours dans le compartiment des valeurs technologiques pendant l'année 1999 (Graphique4). Il analyse ensuite les valorisations boursières une fois ce compartiment exclu du marché canadien. Lorsqu'il utilise pour cela la méthode des taux de rendement comparatifs, les écarts de rendement obtenus sont un peu moins élevés; quand il a recours au modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes, il n'est pas nécessaire de postuler une croissance future des dividendes aussi rapide ni une prime de risque aussi faible pour justifier le niveau des cours actuels.
L'article met en lumière deux effets de la « nouvelle économie » sur les marchés boursiers. Le premier est le fléchissement du ratio dividendes/cours, du fait que les sociétés de haute technologie réinvestissent en général le gros de leurs bénéfices et versent peu de dividendes. Le second a trait à la possibilité d'un relèvement du taux d'accroissement de la productivité, qui accréditerait l'hypothèse d'une croissance des bénéfices supérieure à la progression observée dans le passé.
Plusieurs hypothèses sont formulées pour expliquer la diminution des primes de risque sur les actions. Alors que la volatilité à court terme a incontestablement augmenté sur le marché boursier ces dernières années, il se peut que le bas taux d'inflation et la meilleure tenue de l'économie, combinés à l'évolution démographique et aux préférences des investisseurs, aient contribué à faire baisser la prime de risque exigée par ces derniers.
Un scénario fondé sur une progression rapide des dividendes à moyen terme puis un retour à plus long terme aux taux de croissance observés antérieurement permet d'expliquer dans une certaine mesure les cours élevés observés actuellement, mais il présuppose des hypothèses qui rompent avec l'évolution passée.
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16 mai 2019
Dans notre Revue du système financier, nous analysons les principales vulnérabilités et les principaux risques pesant sur la stabilité financière au Canada et nous expliquons leur évolution au cours de la dernière année. Dans la présente livraison, la Banque met en évidence que les vulnérabilités associées à l’endettement élevé des ménages et aux déséquilibres sur le marché du logement ont légèrement diminué, mais restent importantes. La Revue du système financier est produite sous la supervision du Conseil de direction de la Banque du Canada, qui réunit Stephen S. Poloz, Carolyn A. Wilkins, Timothy Lane, Lawrence Schembri, Lynn Patterson et Paul Beaudry.
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La politique monétaire et la stabilité financière sont étroitement liées, et la résilience du système financier est un aspect important de cette relation. Le système financier est-il devenu plus résilient à l’issue du programme de réforme de la réglementation financière mis en place par le G20 après la crise? Le propos de cette étude est de répondre à cette question.
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Ce modèle d’équilibre explique la tendance des taux à long terme ainsi que les mouvements cycliques des taux à court terme et des écarts de rendement. Les courbes de rendement inversées (et les récessions) moins fréquentes après les années 1990 sont attribuables à la stagnation séculaire observée récemment et aux attentes d’inflation procyclique.
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L'auteur présente un modèle de petite économie ouverte pour le Canada dans lequel les croyances des ménages sont hétérogènes. Selon le modèle, des cycles simultanés d'envolée et d'effondrement des prix de l'immobilier résidentiel, de la production, de l'investissement, de la consommation et du nombre d'heures travaillées pourraient émerger si les emprunteurs hypothécaires ayant un accès limité au crédit s'attendent à une hausse des prix des maisons mais que ces attentes ne sont pas partagées par les épargnants et sont déçues par la suite.