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A Measure of Underlying Inflation in the United States

Document de travail du personnel 1997-20 Iris Claus
Une banque centrale ayant pour objectif premier de préserver la stabilité des prix doit pouvoir distinguer les chocs temporaires qui frappent les prix et les chocs persistants qui touchent le taux d'inflation. Il importe donc qu'elle dispose d'une mesure de l'inflation sous-jacente susceptible de la guider dans la conduite de la politique monétaire.

Menu Costs, Relative Prices, and Inflation: Evidence for Canada

Document de travail du personnel 1997-14 Robert Amano, Tiff Macklem
Selon les modèles de coût d'ajustement des prix élaborés par Ball et Mankiw (1994 et 1995), il existe une relation positive entre, d'une part, les fluctuations à court terme de l'inflation et, d'autre part, l'asymétrie et la variance de la distribution des variations de prix relatifs durant chaque période

What Does Downward Nominal-Wage Rigidity Imply for Monetary Policy?

Document de travail du personnel 1997-13 Seamus Hogan
Un article publié récemment avance une hypothèse susceptible d'expliquer l'existence d'un arbitrage entre le chômage et l'inflation lorsque celle-ci est faible.
13 mai 1997

Contraintes de capacité, ajustement des prix et politique monétaire

La courbe de Phillips à court terme exprime une relation positive à court terme entre le niveau de l'activité économique et l'inflation. Lorsque le niveau de la demande au sein de l'économie est supérieur à celui de la production potentielle à court terme, les pressions sur les prix s'intensifient et l'inflation augmente. L'article fait état des premiers travaux qui ont été effectués sur la courbe de Phillips à court terme et s'intéresse tout particulièrement à la vieille thèse selon laquelle cette courbe aurait une forme non linéaire, c'est-à-dire que l'inflation serait plus sensible aux variations de la production lorsque l'économie se trouve au sommet que lorsqu'elle se trouve au bas du cycle. Le caractère non linéaire de la courbe de Phillips à court terme, qui s'explique généralement par l'existence de contraintes de capacité qui limitent l'expansion de l'économie à court terme, suscite depuis quelque temps un regain d'intérêt. L'auteur passe en revue les résultats de travaux récents qui donnent à penser que la courbe de Phillips est non linéaire dans le cas du Canada et analyse les conséquences qui pourraient en découler pour la politique monétaire.

A Band-Aid Solution to Inflation Targeting

Document de travail du personnel 1997-11 Robert Amano, Richard Black, Marcel Kasumovich
Les auteurs examinent quelques modèles tirés des études portant sur les zones cibles de taux de change, dans l'intention de déterminer si ces modèles peuvent servir à l'analyse de stratégies axées sur la maîtrise de l'inflation.

Mesures du taux d'inflation tendanciel

Document de travail du personnel 1997-9 Thérèse Laflèche
Dans ce travail, l'auteure établit de nouvelles mesures du taux d'inflation tendanciel à partir des variations des composantes de l'IPC total, dans l'hypothèse où les variations extrêmes de certains prix traduisent des chocs d'offre temporaires et non la tendance fondamentale des prix.

La courbe de Phillips au Canada : un examen de quelques hypothèses

Document de travail du personnel 1997-3 Jean-François Fillion, André Léonard
La présente étude, qui s'inspire de diverses recherches effectuées sur la dynamique des prix au Canada, examine certaines hypothèses susceptibles d'expliquer la piètre qualité des prévisions réalisées récemment à l'aide de la courbe de Phillips traditionnelle.
14 décembre 1996

L'incidence des fluctuations du taux de change sur les prix à la consommation

Dans le premier volet, plutôt théorique, l'auteure analyse les facteurs qui influencent le mécanisme par lequel les variations du taux de change se transmettent aux prix à la consommation. Dans le second, elle examine l'expérience canadienne récente en la matière à partir de 1992. Plus précisément, elle utilise l'analyse de la première partie pour expliquer pourquoi la dépréciation de près de 20 % du dollar canadien entre 1992 et 1994 ne s'est pas traduite par une hausse du taux d'inflation aussi forte qu'on l'aurait prévu à la lumière des estimations traditionnelles de l'incidence des variations du taux de change sur les prix. L'auteure explique ce phénomène d'abord par les facteurs énumérés dans le volet théorique, à savoir la conjoncture de la demande, les coûts d'ajustement des prix et la perception de la durée de la dépréciation, et ensuite, par des facteurs plus particuliers tels que l'abolition des droits de douane entre le Canada et les États-Unis et la restructuration du marché de la vente au détail. Ces derniers éléments ont sans doute contribué à neutraliser l'effet de la dépréciation du dollar sur les prix.
11 août 1996

La mesure et l'interprétation des taux d'intérêt réels à court terme et de l'inflation attendue

Dans cet article, l'auteur compare différentes mesures des taux d'intérêt réels à court terme pour le Canada pour la période comprise entre 1956 et 1995. Pour mesurer le taux d'intérêt réel prévu, il a recours à une variable d'approximation de l'inflation attendue qui se fonde sur les caractéristiques de l'inflation passée. Lorsqu'on examine le comportement de l'inflation au Canada au fil du temps, on est porté à croire que ses caractéristiques ont changé considérablement avec le temps. L'inflation passée peut être considérée selon trois scénarios différents, à savoir que l'inflation moyenne est faible et les chocs n'ont que des effets temporaires sur elle; l'inflation est modérée et s'accompagne de perturbations plus persistantes; et l'inflation s'emballe et les chocs ont des effets permanents sur son niveau. La variable d'approximation de l'inflation attendue s'appuie sur un modèle statistique, le modèle à changement de régime de Markov, pour prendre en compte les changements de comportement de l'inflation au fil du temps. On s'est rendu compte que l'incertitude découlant de la variabilité du comportement de l'inflation rejaillit sur l'estimation des attentes d'inflation et, par voie de conséquence, sur la mesure des taux d'intérêt réels. Les fourchettes cibles servant à maintenir à un bas niveau le taux d'inflation devraient contribuer à réduire l'incertitude entourant le comportement de l'inflation. On est porté à croire, lorsqu'on examine la façon dont celle-ci et les taux d'intérêt évoluent, que la crédibilité des objectifs de maîtrise de l'inflation visés par la Banque du Canada va s'accroissant. Cela devrait contribuer à réduire l'incertitude entourant l'inflation et mener à la longue à de faibles taux d'intérêt nominaux.

Does Inflation Uncertainty Vary with the Level of Inflation?

Document de travail du personnel 1996-9 Allan Crawford, Marcel Kasumovich
L'objectif des auteurs est de tester l'hypothèse que l'incertitude entourant l'inflation s'accroît lorsque le taux d'inflation augmente. Ils fondent leur analyse sur l'utilisation de modèles autorégressifs conditionnellement hétéroscédastiques généralisés (GARCH), lesquels permettent à la variance conditionnelle du terme d'erreur de fluctuer dans le temps. Comme cette variance constitue une approximation de l'incertitude entourant l'inflation, la détection d'une relation positive entre elle et l'inflation viendrait étayer l'hypothèse examinée.
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