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On voit généralement les banques centrales réagir de façon graduelle aux chocs économiques, en modifiant les taux d'intérêt à petites doses de façon à étaler le mouvement de hausse ou de baisse sur une longue période. L'auteur analyse le comportement des banques centrales à l'égard des taux d'intérêt à la lumière des résultats empiriques, en mettant l'accent sur le cas du Canada.

À partir de données sur l’emplacement des succursales bancaires au Canada couvrant la période de 2008 à 2018, nous étudions la concurrence entre les banques sous un angle intéressant, soit celui de la concentration géographique. Nous concluons qu’il n’y a pas de corrélation entre la densité des succursales bancaires et la concentration géographique et de marché. Toutefois, nous constatons que cette densité est fortement corrélée aux caractéristiques sociodémographiques des territoires de code postal.

Les auteurs étudient l'évolution récente de la proportion des travailleurs autonomes au Canada. Entre 1987 et 1998, cette proportion a progressé de 3,5 points de pourcentage et est passée de 13,8 % à 17,3 %.

L'auteur explique en termes non techniques le rôle du taux de change dans la politique monétaire canadienne, qui est axée sur la poursuite d'une cible d'inflation.

L'auteur compare deux types de politique monétaire, l'un fondé sur la poursuite de cibles définies à l'égard du niveau des prix et l'autre sur celle de cibles d'inflation. Faisant la revue des arguments invoqués récemment en faveur des cibles de niveau des prix, il examine comment certains facteurs, tels que la nature des chocs qui secouent l'économie et la mesure dans laquelle les agents sont tournés vers l'avenir, influent sur la validité de ces arguments.

Les auteurs font un survol des études consacrées récemment aux zones monétaires optimales. Ils analysent l'évolution de la théorie dans un contexte d'équilibre général et passent en revue les travaux empiriques portant sur l'asymétrie des chocs et les mécanismes d'ajustement. Ils examinent également diverses questions ayant trait à l'endogénéité des critères définissant une zone monétaire […]

L'indice des prix à la consommation (IPC) est la mesure de l'inflation la plus couramment utilisée au Canada. Toutefois, à titre d'indicateur des variations du coût de la vie, l'IPC est sujet à divers types de biais de mesure.

Les auteurs élaborent et estiment un modèle d'équilibre général de la structure des taux d'intérêt canadiens, dans lequel la dynamique des principales variables macroéconomiques est représentée sous une forme vectorielle autorégressive et reliée à celle de la structure des taux.

La relation empirique qui lie le taux de croissance moyen et la volatilité des taux de croissance, aussi bien dans le temps que dans nombre de pays, a, sur le plan des politiques, des implications importantes, essentiellement déterminées par le signe de cette relation.

Les auteures étudient les effets de l'existence de multinationales sur le degré de transmission des mouvements de change aux prix dans un modèle de concurrence par les quantités (ou concurrence à la Cournot) où une multinationale affronte des rivales à la fois sur son marché intérieur et sur un marché extérieur.