10 décembre 2014
Articles de la Revue de la Banque du Canada, Articles de la Revue du système financier, Enquête auprès des responsables du crédit, Enquête sur les perspectives des entreprises, Livres et monographies, , Rapport annuel, Rapport financier trimestriel, Rapport sur la politique monétaire, Revue de la Banque du Canada, Rapport sur la stabilité financière
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10 décembre 2014
Résilience du système financier canadien : l’apport de la cybersécurité
Harold Gallagher, Wade McMahon et Ron Morrow examinent les différentes catégories de cyberattaques et leur incidence potentielle sur le risque systémique. Les efforts entrepris pour lutter contre les cybermenaces sont ainsi mis en lumière et, à ce titre, les actions individuelles ou collectives des institutions financières et des infrastructures de marchés financiers. Une attention particulière est également accordée aux initiatives des organisations internationales, des autorités réglementaires et des États. Enfin, les auteurs s’attachent à montrer comment les interventions des secteurs public et privé sont orchestrées au Canada, dans le cadre du Programme de gestion conjointe des mesures favorisant la résilience des opérations, en vue de gérer les capacités et d’en vérifier la solidité si devaient se produire de graves incidents de l’ampleur d’une cyberattaque. -
10 décembre 2014
Revue du système financier - Décembre 2014
La section « Rapports » de la Revue du système financier aborde des questions intéressant les systèmes financiers canadien et mondial. La livraison de décembre 2014 renferme deux rapports qui traitent d’importantes évolutions observées au sein du système financier : d’une part, la croissance et l’innovation rapides qui ont marqué le marché des fonds négociés en bourse et, d’autre part, le danger grandissant que revêtent les cyberattaques pour la résilience opérationnelle des institutions financières et des infrastructures de marchés financiers. -
28 novembre 2014
Rapport financier trimestriel - Troisième trimestre de 2014
Rapport financier trimestriel - Troisième trimestre de 2014 - Pour la période close le 30 septembre 2014 -
13 novembre 2014
Revue de la Banque du Canada - Automne 2014
Cette livraison analyse les évolutions récentes observées dans le domaine de la macroéconomie expérimentale et, s’agissant des indications prospectives, les résultats de travaux portant sur les seuils liés à la trajectoire du niveau des prix et au chômage. Une étude concerne les effets de débordement attribués aux programmes d’assouplissement quantitatif des économies avancées. Enfin, des articles décrivent les stratégies mises en place par les entreprises canadiennes afin d’améliorer leur compétitivité et l’usage qu’elles font des produits dérivés. -
13 novembre 2014
Évolutions récentes dans le domaine de la macroéconomie expérimentale
Cet article donne une vue d’ensemble de l’économie expérimentale; plus particulièrement, des évolutions récentes de la macroéconomie expérimentale. La démarche expérimentale trouve toute son utilité en offrant des éléments d’appréciation sur des phénomènes économiques impossibles à observer directement ou difficiles à mesurer. Les expériences conduites par les chercheurs de la Banque du Canada ont permis d’éclairer un certain nombre de questions importantes du point de vue de la politique monétaire, qu’il s’agisse de l’efficacité relative du ciblage du niveau des prix ou de la nature de la formation des anticipations d’inflation. -
13 novembre 2014
Les indications prospectives ne devraient‑elles pas être dépendantes du passé?
Aux prises avec la contrainte que leur impose la borne du zéro des taux d’intérêt, des banques centrales se sont attachées à expliquer leur décision de recourir à un seuil qui doit être franchi avant que les taux d’intérêt à court terme soient relevés. Comme le montrent les résultats de simulations réalisées pour le Canada, les indications prospectives qui sont subordonnées à l’atteinte d’un seuil de prix peuvent théoriquement favoriser la demande et hausser les attentes d’inflation bien davantage que des indications assorties d’un seuil de chômage. Cet atout s’explique par le fait que les seuils de prix sont influencés par les niveaux précédents de l’inflation. Dans la pratique, cependant, des seuils influencés par le passé seraient vraisemblablement plus difficiles à expliquer. -
13 novembre 2014
Assouplissement quantitatif et effets de débordement sur les marchés émergents
Les programmes d’assouplissement quantitatif mis en œuvre aux États-Unis pourraient avoir fait grossir les flux de capitaux destinés aux économies émergentes et avoir exercé des pressions à la hausse sur le prix des actifs et les taux de change, mais l’écart entre les variables fondamentales des économies avancées et des économies émergentes a également été un facteur important. Des indices portent à croire que les retombées positives de l’assouplissement quantitatif sur les économies émergentes, en l’occurrence le raffermissement de la demande mondiale et l’amélioration de la confiance, semblent l’emporter sur les coûts. Lorsque les économies avancées entreprendront de normaliser leur politique monétaire, la meilleure ligne de défense des pays émergents pour se prémunir contre toute instabilité potentielle consistera sans doute à renforcer leurs propres cadres macroéconomiques et financiers. -
13 novembre 2014
Stratégie d’entreprise, compétitivité et productivité : le cas du Canada
À un moment où la Banque anticipe un déplacement de la demande vers les exportations et les investissements et où des tendances transformatrices à l’échelle mondiale confèrent une importance croissante à l’innovation, à la technologie et à l’apprentissage organisationnel, la compréhension des stratégies de compétitivité des entreprises canadiennes revêt un intérêt particulier. Cet article résume les résultats d’une enquête menée par la Banque du Canada auprès de 151 firmes afin de dégager les signes indicateurs des éléments présents dans les stratégies des entreprises et le capital organisationnel dans le but d’éclairer les perspectives macroéconomiques. -
13 novembre 2014
L’utilisation des produits dérivés par les entreprises canadiennes
Au Canada, environ le tiers des entreprises non financières cotées en bourse se servent des instruments dérivés. Cette utilisation est répandue dans tous les secteurs de l’économie et elle s’accroît en période de plus forte incertitude. Les entreprises non financières qui couvrent leurs risques à l’aide des dérivés sont généralement de plus grande taille et plus rentables que les autres, et leurs revenus sont moins volatils. Les caractéristiques des opérateurs canadiens en couverture semblent correspondre dans l’ensemble à celles de leurs homologues d’autres pays.