L'auteur explique en termes non techniques le rôle du taux de change dans la politique monétaire canadienne, qui est axée sur la poursuite d'une cible d'inflation.
Le fait que les variables financières ne permettent pas de prédire avec fiabilité la croissance du PIB et de l'inflation complique la tâche des responsables de la politique monétaire.
La confrontation empirique avec les séries chronologiques macroéconomiques aboutit habituellement à une réfutation de l'hypothèse de substitution intertemporelle d'offre de travail.
D'après plusieurs études empiriques, l'incidence de l'évolution du taux de change sur les prix a diminué ces dernières années dans les pays industrialisés.
Les auteurs examinent empiriquement la relation entre différents aspects de l'inflation et la dispersion des prix relatifs au Canada en utilisant une courbe de Phillips spécifiée à l'aide d'un modèle de régression markovien.
Pour éprouver la validité empirique d'une équation fondée sur la nouvelle courbe de Phillips keynésienne, les auteurs adoptent des méthodes d'inférence qui permettent de surmonter le problème de l'identification.
L'auteur étudie un modèle d'équilibre général où des agents hétérogènes sont soumis à des contraintes de crédit et à un risque de production idiosyncrasique non assurable. S'attachant à l'effet de ces frictions sur les investissements des entrepreneurs, il décrit l'arbitrage entre risque de production et épargne de précaution auquel sont confrontés ces derniers.
Le Système de transfert de paiements de grande valeur (STPGV) a été conçu pour répondre aux normes internationales en matière de limitation des risques tout en réduisant au minimum les coûts au titre des garanties exigées des participants.